1. Saint Matthieu et l'ange


    Datte: 15/10/2020, Catégories: fh, hplusag, religion, Collègues / Travail revede, pénétratio, Auteur: Lizbeth, Source: Revebebe

    ... suivre, le jour même où je l’ai embrassée pour la première fois ! Si elle savait à quel point ce moment m’a obsédé, les semaines qui ont suivi, à quel point j’ai rêvé et cauchemardé en pensant à elle, à quel point j’ai repris goût à une masturbation non culpabilisée en pensant à elle… elle serait sans doute un peu effrayée.
    
    C’est elle qui glisse sa langue contre la mienne. Je grogne à mon tour, son bassin s’est pressé contre le mien. Voilà que je suis à l’étroit dans mon jean. C’était sans compter sur ses doigts, qui agrippent ma ceinture et en défont la boucle. J’ai un mouvement de recul. Je veux bien me déshabiller devant elle, mais pas devant tout le monde dans la cour. Elle me tire de nouveau à elle par le cuir de ma ceinture, et m’arrache un dernier baiser, puis prend ma main.
    
    Je la suis à l’intérieur et me retrouve finalement avachi dans le canapé. Elle est debout, elle m’observe. Je ne suis pas encore nu, mais c’est tout comme. Ses yeux me dévorent. Je crois que dans les miens, il doit y avoir comme un air affamé, aussi. Elle vient sur moi, contre moi, et la pointe de sa langue glisse sur ma lèvre inférieure puis elle se redresse. Elle fait passer son pull par-dessus sa tête. Son sous-pull. Son tee-shirt.
    
    Ses seins sont nus. Je ferme les yeux. Mon cœur bat dans ma gorge. Dans mon sexe aussi. Puis je prends l’un de ses tétons entre mes dents, contre ma langue, une main sur ses reins cambrés. J’en deviendrais dingue. Elle recule et m’embrasse de nouveau, puis ...
    ... descend dans mon cou. Je pose un baiser sur son épaule et je sens qu’elle sourit. Un à un, elle défait les boutons de ma chemise, sans prendre garde à la médaille de Saint-Matthieu que j’ai conservée à mon cou, puis passe ses deux mains à plat, de mes clavicules à mon bas-ventre, pliant ses doigts sous le bouton de mon jean. Je la regarde par en dessous. Dehors, le ciel s’obscurcit.
    
    Elle dégrafe mon pantalon et le fait descendre jusqu’à mes chevilles. Voilà, je suis exposé. Enfin, pas complètement. Reste mon sexe, caché derrière un dernier morceau de tissu. Elle semble hésiter. Je me demande pourquoi. Je plaisanterais bien pour détendre l’atmosphère, mais ce n’est pas le moment. Alors, en l’embrassant, je la fais basculer sur le côté, et j’ôte mon caleçon.
    
    Elle me regarde fixement. Puis regarde ma queue. Dure. Dressée contre mon ventre. Sa poitrine monte et descend au rythme d’une respiration qui m’apparaît rapide. Finalement, elle retrouve sa place sur moi et reprend mes lèvres. C’est tendre, cette fois-ci. De mes mains, j’encadre son visage et lui rend son baiser.
    
    Et elle descend. Sa bouche : dans mon cou, sur mon torse. Et je sens ses seins qui suivent le mouvement, qui passent contre mon ventre. Je ne peux pas bander davantage. Je ne sais pas où va aller le sang que mon cœur pulse de plus en plus rapidement. Je sais : dans ma cervelle, pour la faire éclater, et je vais devenir dingue.
    
    Voilà. Sa langue remonte le long de mon sexe, tendu comme un arc. Moi, je ...