Solstice d'un fleuve
Datte: 13/10/2020,
Catégories:
f,
ff,
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voyage,
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amour,
miroir,
vidéox,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
Oral
fgode,
jouet,
lavement,
uro,
BDSM / Fétichisme
nostalgie,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... gynécologues, me laisser attacher : je serai chatouillée puis masturbée. Me voilà prévenue : ce sera assez violent, mais si cela devient vraiment insupportable, je n’aurai qu’à crier « sombrero » pour que le supplice s’interrompe immédiatement : ce sera le mot de sécurité.
Il me faut me rhabiller provisoirement avec les vêtements qu’on me tend, assez ridicules, mais après tout, c’est du cinéma, et par chance ils me vont. Ceci avant de me dénuder à nouveau devant l’objectif. Ma tortionnaire, vêtue d’une blouse blanche, est jeune et plutôt mignonne : ce sera un plaisir de me laisser torturer par ce ravissant bourreau soi-disant médecin qui me lie avec des sangles d’une manière ne me permettant absolument pas de bouger.
Expérience à l’appui, il s’avère que mon optimisme était quelque peu excessif : elle ne fait pas semblant, et ses chatouillements sur toute la surface vulnérable de la peau sont extrêmement efficaces. Le fait de découvrir qu’on lui livre, tout attachée, une victime particulièrement chatouilleuse lui plaît visiblement. Elle semble deviner le point jusqu’à quel point il m’est possible de tenir, puis elle cesse afin de m’attaquer de son grand vibromasseur. Dans ce domaine, elle dispose de toute une panoplie de jouets intimes. Là aussi, pas de quartier : les orgasmes qui déferlent sur moi sont sans répit, à peine le temps d’en digérer un que le suivant arrive aussitôt, ce qui met mon endurance à rude épreuve. La caméra s’approche pour filmer en gros plan, ...
... tantôt mon visage grimaçant ravagé successivement par la volupté puis l’affliction, tantôt ma vulve où les giclettes se succèdent, dégoulinante de cyprine. Là aussi, l’abondance du liquide semble appréciée de Lucie qui lève le pouce en guise de bravo. Sans répit, les doigts entrent dans mon vagin, dans mon anus, puis les deux orifices en même temps. J’ai l’impression de n’être plus qu’une poupée de chiffon qu’une petite fille malmène avec insouciance, juste pour s’amuser. Serrant les dents, j’attends que cesse l’orage.
En m’obligeant à franchir la dernière barrière de l’impudeur, la présence de la caméra me procure un trouble étrange. Dès que le montage sera fait, demain peut-être, le monde entier pourra accéder aux détails les plus intimes de mon anatomie, et aussi observer les expressions de mon visage sous le feu du plaisir. C’est comme si une foule immense était venue chez moi me regarder prendre ma douche. Je ne suis plus humaine, même plus un jouet : une image, icône de l’avilissement. Des hommes se masturberont en me regardant ainsi et je serai livrée à leurs envies par écran interposé. Cette pensée me dégoûte un peu. Il faut que je sois devenue folle pour avoir consenti à ce rodéo bizarre. Et pourtant, de quel droit pourrais-je me plaindre, car non seulement j’ai consenti cet assaut de débauche, mais je l’ai voulu, désiré, et même prémédité. J’ai déjà visionné des scènes similaires sur Internet. Parfois j’y pensais, j’en rêvais, la nuit, seule dans mon nuit d’insomnie. ...