Je demande de la tendresse - Histoires de Sexe

Je demande de la tendresse

... me rajeunit et quand je pense à Charles et à Brigitte quand ils vont voir mon cœur, je leur dirai que je suis allée dans un quelconque salon d’esthétique. J’en connais un qui va être fou, depuis le temps qu’il me tannait avec son fantasme de me voir avec le sexe taillé. Il ne va pas en revenir. Et puis j’en connais un autre qui mérite toutes mes attentions. Comme je suis très satisfaite de lui, je l’embrasse, mais cette fois, c’est ma langue qui va s’enrouler autour de la sienne.

Je ronronne, je suis bien. Je l’attrape par son mandrin et comme tout à l’heure je fais coulisser mes doigts autour de sa hampe qui n’en finit plus de croître et d’augmenter de volume. Puis j’abandonne ses lèvres, me mets à genoux devant lui et je me mets à lui lécher le gland. En grognant, il nous installe tête-bêche et ainsi peut-il coller ses lèvres aux miennes, à ma fente glabre désormais. Je passe ma langue sur son gland comme je le fais d’habitude sur une boule de glace, je remonte toute la longueur de sa queue en lâchant des coulées de salive quand soudain je décolle, il a réussi à me faire venir avec sa langue. C’est réellement un amant fabuleux ! Et quand je pense à Brigitte qui me racontait les exploits de son mari. Soit elle raconte mal, soit elle est blasée ! Jamais un homme ne m’a fait cet effet. Quand je pense à la chance que j’ai : il est encore à moi pour une semaine !

— Je te remercie vraiment du fond du cœur. Grâce à toi, je sais ce que c’est de prendre son pied, d’être baisée comme une femelle.
— Mais je t’en prie, et si tu le veux, je t’apprendrai comment pratiquer l’amour physique.
— L’amour physique c’est bien, mais pour l’instant je n’ai besoin que de ta tendresse.

Je me love contre lui, tout contre son torse velu, là je suis bien prête à m’endormir sur le poitrail mâle, bercée par sa respiration calme et sereine.

Suite à venir…