1. Je demande de la tendresse


    Datte: 11/10/2020, Catégories: fh, extracon, alliance, grossexe, fépilée, intermast, 69, extraconj, Auteur: Moilephilou, Source: Revebebe

    ... boisson ou la fatigue qui commence à se faire sentir mais j’ai du mal à tenir la pose que me fait prendre mon beau-frère.
    
    — Je vais te prendre en photo, ainsi tu n’auras pas à rester immobile et je pourrai te représenter avec la même lumière ce soir ou bien demain.
    
    Il va chercher son appareil et commence par tourner autour de moi, il me donne différentes consignes pour bien mettre mon corps en valeur, me demandant d’étendre une jambe, de faire sortir ma poitrine, d’adopter un certain port de tête… Tout en prenant ces clichés, il essaye de capter des sources lumineuses différentes et originales. Il prend ainsi une vingtaine de clichés ou peut-être davantage, puis me rend ma liberté.
    
    Je jette un regard curieux aux différentes réalisations de Roland. Quand je vous le disais, que mon beauf est un artiste ! Il s’est surpassé, les instantanés sont merveilleux, les lumières en sont variées passant de la clarté la plus extrême aux différents effets d’ombre allant jusqu’à l’obscurcissement presque parfait. La clarté va de celle du jour à une source lumineuse qu’on dirait obtenue par un éclairage artificiel. Je reste bouche bée devant ces clichés pendant que Roland vient m’agacer la nuque en me faisant des petits bisous tout doux. Et voilà, c’est reparti ! Nous nous enlaçons et je sens bien que Roland me masse les seins. Très sensible de la poitrine je ne tarde pas à perdre pied.
    
    — Ouiii, continue… tu me fais du bien. Je sens que je viens.
    
    Mon beauf est tout étonné ...
    ... d’apprendre que je peux jouir d’un simple massage mammaire. Je lui rapporte alors ce que j’ai déjà lu dans un magazine féminin, à savoir que les zones érogènes chez la femme peuvent être beaucoup plus sensibles que chez l’homme, cela remontant à la prime enfance où les bébés filles sont plus chouchoutés que les bébés de sexe masculin.
    
    — Je vois que ma sœur ne t’a pas appris grand chose sur les femmes et leur plaisir, mais je t’expliquerai tout. D’ailleurs tu peux tout me demander.
    — C’est bien vrai ça ? Je vais donc profiter de ces dispositions à mon endroit.
    
    Zut, flûte et crotte de bique. Mes paroles ont encore dépassé ma pensée et je ne me vois pas lui dire que ma langue a fourché. Non, tant pis, il me faut assumer. Pourvu qu’il ne me demande pas des trucs trop osés que j’aurais du mal à réaliser ! Il doit bien se douter que je ne me mets pas à poil devant tout le monde, de même que je n’embrasse pas sur la bouche Pierre, Paul ou Jacques et qu’il n’est pas dans mes habitudes de me laisser doigter par un inconnu.
    
    — Tu n’as jamais pensé à te raser le sexe ? me demande-t-il, l’air amusé. Parce que tu as une sacrée touffe et je déteste avoir des poils dans la bouche.
    
    Tiens, tiens ! Aurait-il l’intention de me faire un petit cuni ?
    
    — Non, j’avoue que même si Charles fantasme là-dessus, je ne me suis jamais rasée ni épilée, mais si tu y tiens, je le ferai demain matin.
    — Demain ? Mais je ne tiendrai pas jusque là. Tu vas venir avec moi dans la salle de bains et je ...