1. Je demande de la tendresse


    Datte: 11/10/2020, Catégories: fh, extracon, alliance, grossexe, fépilée, intermast, 69, extraconj, Auteur: Moilephilou, Source: Revebebe

    ... vais procéder à ta coupe maison.
    — Tout de suite ?
    — Absolument. Viens !
    
    Je me lève et il m’entraîne vers la pièce où tous les matins Charles se rase. Il me soutient tendrement, ma tête appuyée sur son épaule. Arrivés dans la pièce, il débarrasse le dessus du buffet où je range les différentes serviettes (de toilette, de bain…). Il y place une grande serviette de plage et m’installe sur le dos, jambes pendantes. Nom de Dieu ! Quel homme : il m’a soulevée sans aucun effort apparent. Le temps de trouver du gel à raser, un rasoir de Charles et d’y insérer une lame neuve, le voici qui s’approche de moi. Il est marrant tout plein déguisé en Figaro avec le sexe à l’air.
    
    — Je vais commencer par une petite coupe aux ciseaux pour dégrossir le travail et dans un deuxième temps, je vais t’appliquer du gel et enfin on terminera par l’opération débroussaillage et défrichage.
    
    Il commence par jouer des ciseaux et là, quand j’aperçois la quantité de poils qu’il évacue sur la serviette éponge, je me dis qu’il y est peut-être allé un peu fort. Comme un coiffeur pro, il se saisit d’un miroir et me fait admirer ma nouvelle coupe.
    
    — Oui, ça me va tout à fait.
    — Et comment rase-t-on madame ?
    — …
    — Oui, je veux dire : rase-t-on partout ou conserve-t-on une partie du système pileux ?
    — Eh bien, je voudrais conserver un petit ornement pileux.
    — Bien madame. En forme de triangle ? De cœur ? Sur le sommet du pubis ? En haut de vos lèvres adorables ?
    
    C’est vrai que je n’avais pas ...
    ... pensé à ça ! Mon choix est vite fait : puisqu’il se propose de me faire un cœur, allons-y. Quant à savoir où, je vais lui demander de le dessiner assez haut, juste au-dessus de mes « lèvres adorables ». Je lui indique donc mes désirs. Il commence par humidifier ma touffe avec un gant de toilette, puis il dépose plusieurs noisettes de gel qui se transforment bien vite en une mousse douce et onctueuse. Il me palpe, me masse, me frictionne de manière à bien marier ce qui me reste de poils avec le produit moussant. Je me redresse sur les coudes, pour apercevoir que j’ai à la jonction des cuisses, un triangle d’écume blanche du plus bel effet en lieu et place de ma foufoune. Pas le temps de m’apitoyer sur mon sort, Roland se met à passer délicatement son instrument… Je veux bien sûr parler du rasoir, bande d’obsédés !
    
    Il reste un peu plus longtemps sur le haut du pubis, l’artiste réalisant son petit chef-d’œuvre. Enfin, il a terminé ! Il me fait contempler son œuvre, me prend la main et la passe sur mon sexe lisse. Je suis surprise : on dirait une peau de bébé. Comme je poursuis mon exploration, j’en arrive à mes petites lèvres, je ne tarde pas à débusquer mon clitoris et à le décalotter. C’est alors que je croise le regard amusé de Roland.
    
    Eh ma fille, tu ne vas tout de même pas te branler en face de lui, de cet homme qui vient de te rendre service !
    
    C’est vrai qu’il vient de me descendre du buffet et que je me trouve belle dans le miroir en pied de la salle de bains. Ça ...