Je demande de la tendresse
Datte: 11/10/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
alliance,
grossexe,
fépilée,
intermast,
69,
extraconj,
Auteur: Moilephilou, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode précédent :Après le départ de mon mari et de ma sœur pour un congrès de comptabilité à l’étranger, Roland, mon beau-frère me propose de faire un dessin de moi, mais suite à un repas (très) arrosé, les choses ne tardent pas à déraper…
Je me sens excitée comme une puce et, il faut le dire, terriblement fautive vis-à-vis de mon homme. Comment ai-je bien pu le tromper comme cela ? Car il y a tromperie de ma part, c’est certain, même si je suis plus ou moins ivre.
Et puis je ne sais pas ce qui m’a poussée à lui dire que mes seins étaient plus lourds et avaient une aréole plus large et plus sombre. C’est comme si je l’invitais moi-même à vérifier de visu. Je m’en veux oui, mais en même temps, c’est si bon de me retrouver dans des bras câlins, dans les bras câlins d’un homme qui me fait fantasmer et, à la réflexion, qui m’a fait rêver depuis bien longtemps (en fait, ça coïncide avec le début des aveux de ma propre sœur sur son mari !).
Je me dis que ma conscience est tout aussi malléable et extensible que l’élastique du slip de bain de Roland qui peine à contenir son phallus tumescent. Toujours aussi grisée par l’alcool que j’ai ingurgité, je ris à gorge déployée à cette pensée :
Eh bien voilà, tu dois être mieux maintenant. Tu devais avoir beaucoup trop chaud, ainsi vêtue !
Je reste un peu dubitative, comment une jupette de tennis, un chemisier plus que léger et un bikini minimaliste (selon moi) peuvent-ils donner trop chaud ? Non, en fait ce qui ...
... en est réellement, c’est que ces vêtements constituaient une barrière que je me suis plu à franchir (je le reconnais au fond de moi). Deviendrais-je une traînée, une putain, une salope ? J’ai mauvaise conscience vis-à-vis de mon époux. Roland en profite pour servir à chacun d’entre nous une eau-de-vie bien parfumée selon lui (je suis tout à fait d’accord avec), mais convenez-en : ce n’est pas ce qui ne va pas arranger mon état.
Je bois mon verre cul sec et m’aperçois avec un certain trouble qu’il m’en sert un autre dans la foulée. Il veut donc me faire boire ? Eh bien soit, je vais boire et m’enfoncer dans l’ivresse et le stupre. De cette manière, j’aurai au moins l’excuse d’avoir agi sous l’emprise de la boisson, moi qui ne bois quasiment pas, je suis effrayée de comptabiliser ce que j’ai bu : deux apéros, du vin, un digestif, de l’eau-de-vie. Comme je titube, Roland me rattrape et m’allonge sur une chaise longue.
— Tu ne tiens pas l’alcool ? s’inquiète-t-il.
— Il est vrai qu’avec tout ce qu’on a éclusé, j’ai consommé autant d’alcool que depuis ma première communion ! plaisanté-je.
— De plus, tu as de l’humour, je ne t’en apprécie que davantage.
Et de nouveau, il cherche à me rouler une pelle. Seulement, cette fois, je renonce à lutter contre le plaisir, j’entrouvre ma bouche et il en profite : nos dents s’entrechoquent, nos langues s’enroulent en jouant un ballet délicieusement érotique. Mes tétons sont durcis à un point innommable et je sens même que mon abricot ...