1. Les ailes du papillon


    Datte: 08/10/2020, Catégories: ff, fagée, amour, Oral Auteur: Polyphème, Source: Revebebe

    ... Stéphanie qui eut un mouvement incontrôlé. Corinne cessa et souffla :
    
    — Je ne te fais pas mal mon amour ?
    
    Stéphanie, du haut du nuage de plaisir où elle était perdue, remua doucement la tête négativement et avec une voix rauque et passionnée répondit :
    
    — Non Corinne. Non chérie. Et peu importe. Fais de moi ce que tu veux.
    
    La langue de Corinne descendit jusqu’au nombril de Stéphanie qu’elle chatouilla délicieusement puis, remontant de nouveau, elle recommença à embrasser le corps de Stéphanie doucement et lentement d’abord. Puis elle prit son mamelon droit et l’enveloppa de ses lèvres comme pour téter. Elle caressa de ses mains libres le sein gauche et brusquement descendit pour attraper son cul et le sonder avec un doigt, sa bouche poursuivant son jeu avec le mamelon qu’elle léchait et suçait comme un bonbon qu’elle aurait essayé de faire fondre sous sa langue.
    
    De sa bouche grande ouverte elle sembla vouloir avaler le sein de Stéphanie – jusqu’à sentir le bout du téton heurter son palais… Elle la referma lentement, glissant sur la peau luisante de salive, pinçant la pointe entre ses lèvres et l’accrochant doucement avec ses dents jusqu’à lui arracher un couinement plaintif. Elle la relâcha et recommença l’opération sur son sein gauche.
    
    Stéphanie sentit soudain le froid sur ses mamelons et ses seins humides : la bouche de Corinne descendait sur son ventre, sur son aine puis à l’intérieur de ses cuisses. Ouvrant les yeux, elle vit Corinne dégager son visage ...
    ... de sa chevelure et lever son regard vers elle.
    
    — Ouvre les jambes, ma belle, l’interpella Corinne avec douceur.
    
    Sans cesser de la regarder, elle baissa son visage dans sa toison noire et commença à lécher le périnée de la jeune femme avec la pointe de sa langue.
    
    Stéphanie gémit à cette caresse : son amante qui semblait hésiter sur le chemin à prendre – sa chatte ou son anus – joua ainsi pendant une minute ou deux et puis soudain elle se décida : Corinne poussa sa langue à l’intérieur de la caverne humide aussi profondément qu’elle le pouvait dans une caresse d’une extrême douceur.
    
    Se relevant, elle se retourna et s’installa tête-bêche avec Stéphanie, la tête sur son entrejambe et la chatte directement sur son visage. Après un très bref temps d’interrogation où elle joua avec les jarretelles dont elle défit une partie, Stéphanie attira la chatte à sa bouche et commença à la lécher en même temps que Corinne entrait dans sa propre féminité. Leur soixante-neuf dura une éternité : Stéphanie dardait sa langue dans le vagin de Corinne qui répliquait par des mouvements du bassin, sa jouissance dégoulinant dans la bouche et sur les joues de Stéphanie.
    
    Soudain la jeune femme découvrit la marque du papillon sur l’aine de Corinne. Fascinée par la finesse du dessin, elle eut la merveilleuse impression de découvrir un trésor secret.
    
    —Lysandra bellargus,Lycaena dispar ouCorinna saphica ? plaisanta-t-elle en l’effleurant du bout des doigts.
    
    À peine touchée, Corinne se ...