La hutte
Datte: 21/04/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... homme.
Me serrant toujours presque douloureusement la main, il se lève ; je dois le suivre, soucieuse de ne pas faire de scandale. Il m’adosse à l’escabeau, me serre dans ses bras et cherche à m’embrasser. Je tente de lui échapper et lui murmure à l’oreille :
— Non, lâche moi, on ne peut pas… Valentin ?
— On ne fera pas de bruit, me répond-il sur le même ton, en m’étreignant encore plus fort.
Il me domine d’une bonne tête et dégage une redoutable force. Sa langue vient se nicher dans mon oreille et y entreprend un ballet sensuel. Il m’en mordille délicatement le lobe, me lèche le cou, caresse ma nuque. En dépit de son jeune âge, ses gestes font naître en moi des sensations grisantes et, sentant que je me détends, il relâche peu à peu la pression de ses bras. D’une main, il ouvre ma parka et me couvre un sein de sa large main. Malgré tous mes vêtements, et malgré moi aussi, je m’abandonne à sa douce caresse. Il fait maladroitement coulisser mes deux pulls autour de ma tête, et tente la même manœuvre avec mon body ! Je brise son fougueux élan en lui murmurant :
— Il s’enlève par le bas ! Et puis, je ne veux pas, sans être protégée…
Il s’écarte de moi, glisse la main dans sa poche, et ressort, triomphant, une boîte de préservatifs. Je suis bluffée ! Avait-il, sans même me connaître, pressenti mon coupable abandon ? Il déplace l’escabeau, m’étend sur la couchette. Valentin nous crie, sans se douter de rien :
— Soyez sages tous les deux, le lit n’est pas bien ...
... large.
Le plafond, surtout, n’est pas haut, style couchette de bateau, et Max se cogne le front en se penchant vers moi. Alors, il m’attire vers lui, j’ai les genoux dans le vide ; il fait glisser mes bottes, dénoue mon pantalon, et me l’arrache presque avec mon collant. Un éclair de lucidité me traverse l’esprit : il y a plus sexy comme dessous qu’un body de coton. Le jeune homme n’a cure de mes étranges idées, et m’ôte d’un seul geste ce dernier sous-vêtement. Je suis nue, sur le dos, devant lui. Étrangement, il s’immobilise ; je sens dans la pénombre son regard sur mon corps. Puis, avec une douceur inattendue, il s’incline vers moi, m’ouvre les genoux et dépose un baiser presque chaste sur ma chatte ; l’effet est fort, je me retiens de gémir. Cet éclair de tendresse chez ce si jeune homme chargé de testostérone me fait littéralement fondre, et je m’ouvre à l’avidité de sa langue qui, après avoir léché les contours de ma fente, s’y engloutit dans un ballet torride. Où a-t-il pu apprendre ces gestes qui me rendent si folle ?
Mes mains courent dans sa chevelure, je me cambre vers sa bouche qui m’explore si bien. De ses dents, de ses lèvres, il caresse et aspire mon bouton. Je me sens devenir toute liquide, et je l’éloigne malgré lui de mon intimité en saisissant ses hanches pour l’attirer plus haut. Il dénoue sa ceinture, émerge fièrement de son pantalon, le caleçon tendu par son membre orgueilleux. Je l’en dépouille, il me tend un préservatif. J’ai conscience que son ...