1. La hutte


    Datte: 21/04/2018, Catégories: fh, fplusag, vacances, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... souhait de me voir le couvrir est pour son ego d’homme preuve de mon abandon, et je m’y attelle non sans mal, vu la taille de l’objet. Une fois bien recouvert, je l’attire dans mes bras ; il s’introduit en moi d’un seul coup, jusqu’au fond. Nous ne bougeons plus, encastrés l’un dans l’autre, conscients de la nécessité de ne faire aucun bruit.
    
    Malgré notre immobilité, je le sens palpiter dans une communion que j’avais jusque là rarement éprouvée ; j’ai l’impression de sentir les battements de son cœur au bout de son engin. Je contracte mes muscles vaginaux pour lui faire comprendre combien il me remplit. Je le sens frémir, se cabrer, et cette tension intense suffit à déclencher en moi un orgasme inouï.
    
    J’ai dû gémir trop fort, car d’une main autoritaire il me ferme la bouche. Puis il vibre à son tour et, malgré le latex, je sens contre mes parois intimes le flot de sa semence jaillissante. Je perds connaissance l’espace d’un instant. Lorsque je reprends conscience, il reste dur en moi, et nous restons ainsi soudés de longues minutes. Puis sa main se réveille et trace sur ma hanche et mon ventre de tendres arabesques. Je resterais volontiers ainsi sous ses caresses lascives, mais son poids sur mes cuisses se fait un peu sentir. Je le repousse un peu, et quand il sort de moi, je ressens comme un vide au plus profond de mon intimité.
    
    Je le regarde se rhabiller ; il a des gestes d’homme, cette étrange manie de remonter de la main ses bourses une fois son pantalon enfilé. ...
    ... Il se penche vers moi, et me susurre à l’oreille :
    
    — Rhabille-toi, si tu ne veux pas que Valentin te voie nue.
    
    Je remets mes vêtements, à l’exception d’un pull et de la parka, car j’ai encore chaud du traitement subi. Sans m’en rendre compte, je m’assoupis.
    
    oooooooooOOOooooooooo
    
    Un violent coup de tonnerre m’arrache à mes douces rêveries, où Max me chevauche comme un fier étalon. Je mets quelques secondes à réaliser où je suis, et vois Valentin, chaussé de ses cuissardes, saisir l’escabeau pour le remettre debout.
    
    — On vient d’en tuer trois, me dit-il, ravi de ce funèbre exploit.
    
    Une bouffée de fraîcheur envahit notre espace lorsqu’il ouvre le capot pour chercher ses victimes. Je me glisse hors de la couchette, pantelante, et rejoins mon nouvel amant sur le vieux fauteuil de la pièce d’à côté, où règne à nouveau une forte odeur de poudre. D’un geste ample, il m’entoure l’épaule de son bras et s’amuse à serrer, à travers mes vêtements, le bout de mon sein.
    
    — Hum, vous êtes moins délicat assis que couché, Monsieur, lui dis-je sur un ton de reproche.
    
    Il part d’un grand éclat de rire et me pince plus fort, m’arrachant un gémissement au moment où Valentin se glisse dans la hutte.
    
    — Hé, ne vous chamaillez pas tous les deux ; regarde, Élodie, ce sont des siffleurs, ils sont beaux ! claironne-t-il en arborant les trois malheureux canards.
    
    Je regarde ma montre : il est 6 heures. J’ai dû faire une demi-nuit, mais j’admire les deux garçons qui n’ont pu que ...
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