La hutte
Datte: 21/04/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... réenfile une à une les manches de mes différentes couches de vêtements. Je devrais être furieuse, je suis en fait émue : ce regard d’homme d’un adolescent sur mon intimité me trouble autant qu’il m’irrite. Il n’a fait que profiter de ce que je lui dévoilais, et ce n’est pas sa faute si j’ai bu trop de bière ! Je ne peux lui en vouloir de la séance d’exhibition involontaire que je lui ai offerte…
Pour trouver une contenance, une fois rentrée dans notre bunker, je propose à mes deux compagnons de leur faire à manger. Un tonnerre d’applaudissements accueille ma proposition. Sur le petit réchaud, je leur mitonne tant bien que mal une savoureuse omelette au lard.
— Où dois-je dresser la table de ces messieurs ?
— Attends, Élodie, je ferme les guignettes et viens t’aider. Tant que ce vent se maintient, nous ne verrons rien. Et de toute façon, les canescourts-cris nous préviendront s’il y a du gibier qui se pose, me répond Valentin.
Il me rejoint près du réchaud, ôte l’escabeau de l’entrée qu’il place de côté comme tabouret et pose une planche sur une caisse. Max et moi nous installons sur la couchette, Valentin sur le siège improvisé. Dans des écuelles à la propreté douteuse, je sers mes deux compagnons. J’ai droit à des compliments appuyés sur mes talents de cuisinière, et Max insiste pour que je boive à nouveau de la bière. Je résiste autant que je peux. Lorsque Valentin ouvre le fromage, une forte odeur emplit notre tanière. Le Maroilles n’est vraiment pas fait pour ...
... un univers si confiné ! Mais il est excellent…
Le dîner achevé, Max allume une cigarette ; l’atmosphère devient quasi irrespirable. Alors que Valentin va rouvrir ses guignettes, je range rapidement les assiettes et me glisse vers le conduit d’ouverture pour prendre un bol d’air frais, comme un matelot émergeant enfin d’un sous-marin. C’est alors que je les sens, juste derrière mes genoux… Max profite de ma position pour me flatter les cuisses de ses mains baladeuses. Malgré l’épaisseur du jean et du collant, le contact est doux et onctueux. Je reste étrangement passive lorsqu’il atteint mes fesses, les palpe, les soupèse, les flatte. Après les avoir vues, monsieur vient les toucher ! Je ferme les yeux. Quelle étrange sensation, le visage dans la fraîcheur du vent, le buste encastré dans une gaine de métal, et ces mains qui folâtrent près de mon entrejambe, me réchauffant le ventre ! Est-ce ma chasteté prolongée – je n’ai eu qu’une courte aventure depuis ma séparation avec Steph – qui me rend réceptive à ces caresses osées ? Je ne sais combien dure cet audacieux massage ; je reste coite, troublée, et ce n’est que le contact intime d’un doigt inquisiteur, glissé malicieusement dans mon zip descendu, s’activant sur l’élastique de mon collant, qui me ramène sur terre et me fait l’écarter.
oooooooooOOOooooooooo
Les incessants cris des canes bercent ma somnolence, je ne fais plus rien pour éviter le contact appuyé de la cuisse de Max contre la mienne. Comme si mon coupable ...