1. La hutte


    Datte: 21/04/2018, Catégories: fh, fplusag, vacances, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... sommeiller.
    
    — Je vous fais un café ?
    
    Mes chasseurs approuvent bruyamment. Lorsque je les sers, Valentin me dit que nous « décrocherons » vers 7 h 30, à la levée du jour. Je retrouve ma position entre mes deux compagnons ; les mains de Max restent cette fois sages, mais maintenant c’est moi qui accentue le contact de nos cuisses. Aucun nouveau volatile ne vient nous visiter jusqu’au levée du soleil, et Valentin nous dit :
    
    — Bon, je sors récupérer les appelants.
    
    Aussitôt, Max ferme les volets de devant et se retourne vers moi. Le regard lubrique dont il me gratifie traduit avec clarté le sort qu’il me réserve. Alors que Valentin a encore un pied sur l’escabeau, il pose ses mains sur le revers de mon pull et le soulève sans fioriture. J’ai à peine le temps de me dire qu’il a enfin compris comment s’enlevait un body qu’il le tire vers le bas, sans même ôter les manches. Un sinistre craquement trahit son impatience. Aïe ! C’est la mère de Chloé qui me l’avait prêté ! Il me dénude en laissant jean, collant et body roulés par-dessus mes bottes, me pousse sur le fauteuil, me retourne sur le ventre. Ses larges mains me saisissent par les hanches et il m’attire à lui. Je sens son glaive chercher son chemin dans mon intimité. Je m’écarte de lui autant que faire se peut et lui souffle :
    
    — Max, tu es trop jeune pour devenir papa ! Protégeons-nous ! En plus, Valentin va nous entendre.
    
    Tout en « s’équipant », visiblement à contrecœur, il me répond d’une voix rauque ...
    ... :
    
    — Ne t’inquiète pas : les canes font encore plus de bruit lorsqu’on les détache !
    
    D’une pression de la main, il me fait rentrer la tête entre les coudes, crochète mes hanches de ses doigts et attire ma croupe vers son pieu orgueilleux. Je suis surprise de l’aisance avec lequel il me pénètre, sans me causer la moindre douleur malgré ses dimensions plus qu’imposantes. La cavalcade démarre. Les ressorts usés du fauteuil me font tanguer, je me sens ligotée par mes effets serrés autour de mes chevilles ; et, d’un coup d’œil osé entre mes coudes, je vois mes seins balloter sous ses coups de boutoir. Il ne bouge presque pas, m’attire vers lui, me repousse soudain en sortant presque de moi, puis me ramène contre lui avec fermeté, comme pour mieux me remplir.
    
    Il est presque brutal, si différent de notre précédente communion que je pourrais croire avoir changé de partenaire. Mais, au fond de moi, je sais que la variété ne fait qu’exaspérer ma trop exigeante sensualité. Je gémis, il grogne, je sens le désir monter du plus profond de moi ; un ouragan me terrasse, je deviens fontaine, griffe le vieux tissu, tremble de tout mon corps, et retombe prostrée.
    
    Je réalise que mon amant reste fiché en moi, immobile, tendu, et toujours aussi dur. Son sourire satisfait prouve son mâle orgueil de m’avoir ainsi conduite vers le plaisir. Puis, avec une infinie lenteur, il reprend ses mouvements, dans un clapotis révélateur de mon total abandon. J’ai l’impression qu’il entre chaque fois plus ...