1. La chasse


    Datte: 20/04/2018, Catégories: fh, fplusag, inconnu, hsoumis, fdomine, Auteur: Like a Princess, Source: Revebebe

    ... pour sentir l’air frais. Dans le silence de la nuit, je savoure, en regardant le ciel étoilé, les moments intenses que je viens de vivre. Mais je suis obligée de revenir à la réalité, les liens de mon captif sont fragiles, si je ne reviens pas bien vite, il est capable de se libérer.
    
    De fait, il commence à renâcler et m’accueille en protestant :
    
    — Mais libère-moi, qu’est-ce que c’est que cette histoire ?
    — Rien, mon chéri, je ne suis pas sûre que tu aies beaucoup à te plaindre, ton petit oiseau n’avait pas l’air de beaucoup protester tout à l’heure. Si je ne t’avais pas retenu, tu allais encore décharger comme un petit puceau. Allez, on va reprendre, tu vas voir que tu n’auras pas à te plaindre.
    
    J’entreprends de l’embrasser partout en commençant par les pieds et le bas des jambes et lorsque j’atteins le dessus des cuisses, sa flamberge est déjà au vent. Je remonte le long de son torse et termine couchée de tout mon long sur son corps. Je défais alors les foulards – heureusement, la soie est glissante car les nœuds se sont serrés – et j’en prends un que je lui passe autour du cou pour lui soulever la nuque. Je le fixe dans les yeux et lui demande :
    
    — Tu veux me prendre par derrière mon chéri ? Ce sera ta récompense. Attention, ne te trompe pas de porte, juste la régulière… Mais je veux une levrette sauvage, je veux que tu me prennes comme une chienne !
    
    Je me dégage de lui et me mets à quatre pattes au bord du lit, cambrant au maximum mes reins pour m’offrir ...
    ... effectivement comme une chienne en chaleur. À froid, j’ai du mal avec cette animalité qui me prend – qui nous prend tous, nous soi-disant êtres pensant supérieurs – lorsque le sexe domine l’esprit ; mais là je me laisse aller comme une bête livrée à ses instincts. Et que c’est bon ! Il me laboure bien vite avec sa queue dans de vigoureux va-et-vient qui font claquer son ventre sur mes fesses. Je suis ouverte, béante, gluante et bientôt hurlante. Dieu que c’est bon !
    
    Il s’écroule sur moi en hurlant à son tour et nous nous effondrons sur le lit, moites et pantelants. Nous restons sans parler pendant de longues minutes, perdus chacun dans nos retours sur Terre respectifs. Je suis dans mes pensées, les mains jointes entre mes cuisses, repliée en moi-même et je reprends peu à peu mon esprit, lui tournant le dos, les fesses collées contre son flanc.
    
    Lorsqu’il commence à remuer, je me retourne sur le dos, regardant le plafond et je lui dis :
    
    — Il va être temps de retourner chez toi mon chaton.
    
    Il me regarde d’un air ahuri ; il s’attendait sans doute, l’innocent, à s’installer pour finir la nuit dans mon lit. Je le détrompe fermement et sans ambiguïté en lui annonçant qu’il doit retourner chez lui et que je n’ai pas l’intention de le ramener en voiture à cette heure tardive. Je m’amuse avec un :
    
    — Tu comprends, une faible femme dehors, à cette heure-là…
    
    Il ne sait pas lire dans mes yeux si je me moque ou pas. Et j’attrape mon iPhone pour appeler le premier numéro de ...
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