La chasse
Datte: 20/04/2018,
Catégories:
fh,
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Auteur: Like a Princess, Source: Revebebe
... passage d’un suçotement un membre visiblement très coopératif, m’enlève moi-même mes habits et très vite, nous nous retrouvons sur le tapis pour une étreinte sauvage. À peine le temps de lui glisser un petit capuchon que j’ai pris au passage dans la tabatière ancienne sur le coffre du salon et je le laisse venir sur moi pour un coït en missionnaire propre à le rassurer dans son statut de mâle. Mais cela le rassure tellement qu’il ne peut se retenir longtemps et le voilà qui beugle comme un veau après à peine quelques va-et-vient.
— Déjà fini ? lui dis-je d’un ton glacial pour lui faire ressentir toute ma frustration.
Il tente de s’excuser platement, tout penaud et me sort les excuses qui lui semblent les plus propres à se justifier et à désarmer ma colère : « Tu es tellement excitante, je n’ai pu résister, tu es si douce, si belle… » Tout juste s’il ne me sort pas que je suis « bonne ». Mais je le regarde froidement :
— Il va falloir que tu te rattrapes !
Désirant sans doute rompre la glace et trouver un prétexte pour échapper à sa honte, il me demande où sont les toilettes. Je l’accompagne, ouvre la porte des cabinets, soulève l’abattant et, par jeu, je lui propose de la lui tenir. Je me colle contre lui, mes seins écrasés contre son dos et lui tiens sa bistouquette au-dessus de la cuvette en effectuant subrepticement un lent va-et-vient. Naturellement – et c’était le but de la manœuvre – il se crispe et n’arrive pas à pisser.
— Assieds-toi, cela ira ...
... mieux.
Au bout de quelque temps, j’entends son jet contre la faïence. Je m’avance pour enserrer son visage de ma poitrine en lui caressant les cheveux.
— C’est bien mon chaton, tu vois, tu y arrives mieux comme cela. Et puis tu ne risques au moins pas de mettre du pipi partout ; c’est bien, je t’aime beaucoup comme ça… Viens maintenant, tu vas être récompensé : on va remettre le couvert.
Et je le prends par la main pour l’amener dans ma chambre. C’est une grande pièce que j’ai tapissée d’un papier vieux-rose soutenu. Mon lit est un lit ancien à barreaux de cuivre mais dont la literie, elle, a été complètement refaite avec un matelas très confortable. Je pousse le bouton du variateur pour juste nous plonger dans une pénombre propice aux ébats.
Je le pousse gentiment pour le faire basculer sur le dos et je me couche sur lui, tête contre tête, enserrant son visage de mes cheveux :
— J’espère que tu vas être à la hauteur cette fois !
Je lui explique de façon pédagogique toute l’étendue de ma frustration, le fait qu’il m’est fortement redevable et qu’il doit maintenant se rattraper. Puisqu’il n’est pas capable de se tenir, je vais prendre les choses en mains.
— Laisse-toi faire !
Je prends un flacon de gel de massage à l’ylang-ylang, je m’en enduis la poitrine et le ventre et je me mets à glisser et ramper sur son torse. Le frottement délicieux de mes tétons sur son corps à peine poilu, la sensation de glisse de l’huile, l’odeur puissante et voluptueuse de fleur ...