1. La chasse


    Datte: 20/04/2018, Catégories: fh, fplusag, inconnu, hsoumis, fdomine, Auteur: Like a Princess, Source: Revebebe

    ... m’envahissent, je me sens partir vers d’autres rivages… Et patatras, ses mains viennent tout gâcher en investissant mes fesses.
    
    — Stop ! Je ne t’ai pas demandé de mettre tes pattes sur moi.
    — Mais…
    — Comporte-toi comme un homme, maîtrise-toi un peu et abandonne-toi ! lui dis-je avec force. Puisque c’est comme ça, je vais être obligé de t’y aider.
    
    Et j’entreprends de lui attacher les mains aux barreaux qui constituent ma tête de lit avec deux foulards en soie que je garde à cette fin sous mon oreiller. Il se laisse faire sans problème. J’adore ces injonctions contradictoires, je lui demande de se comporter en homme et je lui fais faire tout le contraire en le mettant à ma merci, totalement impuissant. Ce procédé est d’une redoutable efficacité : demandez à un mâle de se comporter en homme en lui enjoignant dans la même phrase d’adopter une posture contraire ; il ne retiendra que le premier membre de la phrase et obtempérera au second.
    
    Je reprends l’exercice et bientôt m’avance vers son visage pour qu’il me suce les tétons. C’est une posture tout à fait délicieuse : je glisse alternativement mes nénés dans sa bouche et il me suce et m’aspire les tétins, je suis toute chamboulée du bas-ventre et je dois couler tant je sens l’humidité envahir ma petite chatte en manque. Je prolonge l’exercice longtemps et lorsqu’il renâcle ou lorsqu’il est un peu trop présent avec ses dents, je lui pince sévèrement le téton que je puis atteindre avec ma main libre. Bien sûr, il ...
    ... pourrait se venger, d’autant que mes bouts de seins si sensibles sont à la portée de ses dents. Mais je sais que j’ai pris l’ascendant sur lui et qu’il ne s’y risquera pas. Et, mieux, la délicieuse sensation d’un possible danger ne fait qu’accentuer mon plaisir.
    
    Mes fesses réclament maintenant leur dû. Je change de position en effectuant un virage de 180° en m’accroupissant sur son visage et me laisse aller en lui enserrant la face. Il manque de s’étouffer et effectue des soubresauts qui ne sont pas pour me déplaire : son nez agace plaisamment la région comprise entre mon minou et mon petit trou, je sens des piles électriques lancer des ondes dans tout mon corps et je pars dans une vertigineuse ascension vers un dix-septième ciel – le septième étant trop bas pour correspondre à mes sensations.
    
    Il doit étouffer là en dessous. Je me penche en avant pour le libérer un peu et je le récompense en prenant sa queue dans ma bouche. Le traitement précédent n’a pas dû lui déplaire, il était d’une belle raideur et il ne tarde pas à gémir alors que la petite bête tressaute bientôt entre mes lèvres. Prudence !
    
    — Mmm ! J’aime ta queue mon amour, mais tu vas repartir sans prévenir si je continue comme ça. On va faire juste un petit break pour que tu puisses assurer, je n’ai pas envie que tu recommences à ne pas pouvoir te retenir.
    
    Je le plante là et quitte la chambre pour aller me rafraîchir tandis qu’il marine attaché dans la pénombre. Je bois un verre d’eau, ouvre la fenêtre du salon ...
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