La chasse
Datte: 20/04/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
inconnu,
hsoumis,
fdomine,
Auteur: Like a Princess, Source: Revebebe
... j’ai tendance à trouver pas mal tout garçon de quinze ans de moins que moi. C’est de la chair fraîche et ferme qui sent bon.
Je m’approche et m’accoude au comptoir juste à côté de lui, aucune chaise n’étant libre à cet endroit. Je lui tourne légèrement le dos, mais il ne peut ignorer que c’est lui qui m’intéresse puisque j’aurais pu aller m’asseoir sur un tabouret libre un peu plus loin. Je le laisse mariner quelques minutes et je me tourne vers lui :
— Vous me payez un verre ? J’adore leLaphroaig.
— Euh… oui, bien sûr, me fait-il en me regardant avec des yeux de merlan frit. Monsieur, vous pouvez servir un verre de Laphroaig à Madame, s’il vous plaît.
— Quel est ton nom ?
— Jérémy.
— Tu aimes les femmes, Jérémy ?
— …
— Timide ?
— Ben, euh…
Il a du mal à décrocher deux mots de suite mais je me charge de la conversation et le soumets à un interrogatoire serré auquel il répond par une série de « euh » de « oui » et de « non », tout en rougissant la plupart du temps dès que je le titille un peu trop sur lui-même. Il avale deux bières supplémentaires pendant que je savoure mon whisky. Il est un peu parti mais pas trop, c’est le moment pour moi de ferrer. Je lui déclare tout à trac que j’ai envie de lui et lui propose de m’accompagner chez moi. Non, il ne peut pas conduire avec ce qu’il a bu, c’est MOI qui vais le conduire dans MA voiture.
Je le laisse me prendre par la taille et nous nous dirigeons vers ma Mini. Il tente encore, sans trop de conviction, de ...
... prendre sa voiture mais je n’ai pas à l’en dissuader avec trop d’insistance, une caresse opportune de ses petites parties lui fait oublier son intention première et il me suit docilement dans mon carrosse.
Le trajet se passe en silence, je sens qu’il ose à peine respirer et qu’il me dévisage avec un mélange de perplexité et d’espoir, se demandent ce qui a bien pu lui arriver pour tomber sur une personne comme moi. Je le conforte dans son étonnement en lui posant une main sur le genou et en lui caressant la cuisse. Il se risque à tenter la réciproque, mais je lui assène une petite tape sur sa main baladeuse :
— Plus tard, jeune homme !
Arrivés dans la cour de ma maison, nous sortons de la voiture et je l’embrasse en lui enserrant la taille et en lui caressant les fesses :
— Joli fessier, Monsieur !
Puis je lui défais bientôt sa ceinture, son pantalon tombe sur ses chaussures. Correctement membré sans plus, malgré l’érection qu’il a développée. Je pose un petit bisou sur ses bijoux et lui demande de me suivre à l’intérieur. Il remonte son pantalon et me suis sans même s’être reboutonné.
Je l’entraîne dans le séjour, l’enserre dans mes bras, l’embrasse d’un baiser profond facilité par mes talons qui me mettent exactement à sa hauteur, à peine un peu plus haut même. Nous nous explorons les amygdales, nous serrons l’un contre l’autre, nous déhanchons pour frotter nos corps. J’en suis toute chose, c’est bon la chair fraîche.
Je poursuis son effeuillage, goûte au ...