1. Moiteur...


    Datte: 05/10/2020, Catégories: fh, couple, vacances, amour, Auteur: Gf Salinator, Source: Revebebe

    ... sportives dans une pareille situation. Il fallait dès lors compter sur le travail d’équipe, et ils étaient deux pour atteindre l’objectif fixé.
    
    Sa femme dévoila alors toute l’étendue de son talent pour garder son homme dans de bonnes conditions. Assise sur la chaise, elle entreprit un ballet sensuel avec ses jambes, les croisant et les décroisant jusqu’à ne plus laisser de doutes sur son absence de sous-vêtements. L’effet fut terriblement efficace, mais l’horloge affichait tout aussi fièrement la vingtaine de minutes restantes. La robe tomba sur le sol, dévoilant un corps nu, des seins glorieusement bombés et des hanches gracieuses, mais l’ensemble restait masqué par une main malicieusement placée sur l’entrejambe. À chaque minute elle repliait un doigt, pour au final dévoiler un sexe complètement épilé qui lui permit de tenir jusqu’aux dix minutes restantes.
    
    Pour Jean, l’exercice devenait tout de même difficile, pris entre la froideur du moulage qui durcissait et la chaleur de sa compagne qui maintenant s’approchait de lui. Elle chevaucha son torse et tendit son bassin pour s’approcher du visage crispé de son mari, reculant de quelques centimètres quand il tentait de l’embrasser pour se rapprocher à nouveau quand il battait en retraite. Ces va-et-vient les amenèrent jusqu’à la dernière poignée de minutes, mais désormais Nadia aussi avait du mal à ne pas succomber à la tentation et frémit à de nombreuses reprises quand son bassin ne reculait pas assez vite.
    
    Les ...
    ... mains de Jean furent libérées dans les derniers instants et leurs caresses désordonnées exprimaient le trouble difficilement supportable de leur propriétaire. C’est d’ailleurs avec une douleur intense qu’il vit l’horloge afficher le zéro libérateur. Une souffrance qui s’opposa dans le même temps à l’orgasme foudroyant qui s’abattit sur sa femme, le corps collé contre le torse de son mari, sa tête baissée contre celle, crispée, de son homme. La victoire était là, et Nadia se remit rapidement de ses émotions pour retirer le moule d’un support douloureux. Elle prit un gant humide et chaud pour le nettoyer, mais n’eut pas le temps de finir que celui-ci jouissait dans un feu d’artifice libérateur qui éclata sur les seins de sa femme.
    
    Dans leurs souvenirs, il était toujours aussi dur quand ils s’endormirent l’un contre l’autre, la main douce de la sculptrice posée sur la partie du corps du modèle qu’elle avait amenée au bout d’elle-même.
    
    Le lendemain matin un éclair griffa le ciel pendant qu’ils marchaient dans les dunes. Le tonnerre poussa un grondement de semonce annonciateur d’un orage brusque et violent, comme le craquement d’un glaçon dans un soda d’été. Ils accélérèrent le pas, trottinèrent puis coururent à mesure que le rideau de pluie se rapprochait d’eux. Dans l’urgence, ils durent trouver un abri de fortune et fuirent sous les arbres les plus proches. Là, face à la mer démontée et sous une averse brutale, ils se blottirent l’un contre l’autre pour se protéger le temps ...
«12...6789»