L'apparition de Marie... nue !
Datte: 04/10/2020,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
jeunes,
douche,
amour,
hdomine,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe
... se releva sans se faire prier. J’avais aussi mis un pantalon de jogging, pour faciliter la dévêture. Assise sur le bord du lit, elle fit le descendre puis s’attaqua au sous-vêtement avec fébrilité et empressement. Enlevé !
Elle demeura pétrifiée, interdite, au bord de la panique. La panique ou l’admiration ? Ou la… convoitise ?
— Je ne… je ne m’attendais pas à ça, j’aurais jamais cru… T’as pas menti.
— Je t’avais prévenue, belle enfant : je suis un peu surmembré. Et attends, lui dis-je en riant, tu n’es pas au bout de tes surprises, je ne suis pas encore en pleine envergure. Embrasse-la pour voir ce que ça peut donner.
— Je… j’ose pas… tu crois que j’y arriverais ?
— À quoi ?
— … à la mettre en bouche ? Je veux goûter.
— Peut-être pas entièrement, il faudra que tu essayes pour voir, je ne te l’impose pas. Je me fiche de la fée Carabosse et de la fée Lation. Pour moi ce qui compte, c’est que tu puisses l’accueillir en entier dans ta chatte. Parce qu’elle en a envie, ta chatte, n’est-ce pas, fille perdue ?
Elle ne répondit pas et se pencha vers la bête. En fait, il n’y avait pas de problème de longueur. C’était plutôt un problème de diamètre. J’avais un pénis anormalement épais, une anomalie naturelle que le Pr XY du CHU voisin avait longuement étudiée sans parvenir à un diagnostic avéré. Il avait poussé la conscience professionnelle jusqu’à me mettre une infirmière cobaye sous l’Adam. Celle-ci avait hurlé, mais pas de douleur. J’eus d’ailleurs toutes les peines à ...
... m’en décramponner par la suite. Le Professeur en avait conclu que si je pouvais mener à bien un rapport avec une infirmière de son service modèle, il n’y avait pas lieu de se tracasser, j’étais apte à une vie sexuelle normale. J’ajoute que si mon ex-épouse tenait à fêter rituellement l’anniversaire de notre divorce, c’était selon ses dires parce que « une fois par an, je veux être remplie par une vraie bite, pas une pauvre petite merguez ».
Marie était donc « penchée sur la bête ». Elle hésitait, elle hésita puis s’enhardit : un petit baiser du bout des lèvres, un second, un troisième, puis elle ouvrit la bouche et tenta d’enfourner le pieu. En vain. C’était trop gros. Elle releva son visage, le dépit dans les yeux.
— Elle est pour moi, pour moi toute seule, et je ne peux pas en profiter comme je voudrais. Si mes copines me voyaient, ce serait la honte.
— Mais si, Marie, tu vas pouvoir en profiter. Moi aussi je veux ma revanche sur le passé, je veux boucler le long chemin qui me sépare du moment où je t’ai vue nue sous la douche et de celui-ci, où tu es couchée sur mon lit. Étends-toi et ouvre les cuisses.
— Tu crois ? Avec « ça » ? Sois doux, coach, j’ai peur. Tu l’aimes, coach, ta petite Marie, tu ne lui feras pas mal ?
Et elle se réfugia de toutes ses forces contre moi tandis que je me couchai sur elle :
— Oui, là… écarte bien… encore… pousse le bassin en avant. Merde !
— Quoi, merde ? T’as besoin d’être vulgaire ?
— J’ai oublié les préservatifs. Ça, c’est ...