1. L'apparition de Marie... nue !


    Datte: 04/10/2020, Catégories: fh, ff, hplusag, jeunes, douche, amour, hdomine, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe

    ... pantalon du jogging et le slip, quand même !
    — Alors qu’est-ce que tu attends ? Dépêche-toi, j’en peux plus !
    
    Je la fis se pencher en avant et tirai sur son haut de jogging pour le lui enlever par-dessus bras et tête. Dans la foulée, je lui dégrafai son soutien-gorge. Rien que pour ses seuls seins, ça valait déjà l’effort.
    
    Elle frissonna lorsque je les empaumai puis roulai les tétons entre mes doigts. Ils durcirent immédiatement. J’insistai en pinçant plus fort et elle marqua le coup par un petit gémissement. Mes mains se promenèrent sur l’épiderme soyeux. Caresses amoureuses dans le dos, sur le ventre, des aisselles aux hanches, à nouveau sur les tétons et le globe des seins. Marie commençait à se tortiller, des frémissements la parcouraient sans qu’elle puisse les contrôler. Elle se mit à trépigner légèrement. C’était le moment de marquer à nouveau le coup. Je lui empoignai brusquement l’entrejambe et le triturai sans ménagement, voire brutalement à travers le tissu. Ses genoux plièrent, elle s’accrocha à moi, pantelante.
    
    — Je peux voir ta chatte ? lui murmurai-je à l’oreille avec tendresse. Dis-le.
    — Oh oui, regarde-la, elle est pour toi. Ça fait si longtemps qu’elle t’attend.
    
    Et le voici, mon Graal ! Alléluia ! Le moment fabuleux où je vais retirer sa culotte à Marie et poser mes yeux sur son trésor offert… Dans l’adultère, c’est peut-être ça, oui à coup sûr, c’est ça le plus beau moment : celui du premier regard.
    
    Je me mis à genoux devant elle et tirai ...
    ... d’abord le pantalon vers les chevilles, sans hâte, en caressant ses jambes fuselées de joggeuse. Frémissante, Marie avait posé ses mains sur ma tête, les miennes remontant délicatement vers son entrejambe caché par le triangle de coton blanc, béni sois-tu, Petit Bateau. Je caressai son sexe bombé à travers le tissu, puis passai mes index sous l’élastique du vêtement de part et d’autre des hanches. Nooon… pas si vite ! Petit à petit, la toison apparut. Je marquai une courte pause pour lisser le poil fin et soyeux et repris ma descente vers l’enfer. Marie était tremblante et… trempée. L’humidité sourdait de ses grandes lèvres, qui dissimulaient bien ses nymphes, sa fente brillait.
    
    Ce spectacle qui me transportait vers des summums de jubilation. Je n’y tins plus, finies les fioritures. Comme le dernier des soudards, je lui arrachai le slip d’un geste brusque. Sa chatte orgueilleuse se révéla dans toute sa splendeur. Papa, Papa où t’es ? Il est là, le pa, le pa… le paradis.
    
    Tu es venue… j’ai vu… j’ai… Je me relevai, serrai Marie contre moi, sa tête sur mon épaule, ma main droite agile entre nos deux pubis, la gauche dans son dos. Elle resta collée contre moi lorsque je la repoussai contre le grand lit de la chambre. Bloquée par le rebord, elle tomba sur le dos en m’entraînant dans sa chute.
    
    — Marie, le grand moment est arrivé, tu vas pouvoir réaliser ton rêve et rendre folles de jalousie toutes tes anciennes copines.
    — Ta queue ? Je peux ? Pour moi toute seule ?
    
    Elle ...
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