1. Mon docteur chéri ?


    Datte: 01/10/2020, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, noculotte, Oral pénétratio, fsodo, f+medical, Auteur: MonsieurDE, Source: Revebebe

    ... Gardez les mains sur la table, s’il vous plaît.
    
    J’obéis. Je sentis son gland à l’entrée de mon vagin. Il donna un grand coup de reins et s’enfonça profondément alors que je lâchai un cri aigu. Puis il commença à me limer brutalement… et c’est bon… tellement bon… même si on ne m’a jamais prise aussi violemment. Je perdis bientôt toute contenance et la salope qui sommeillait en moi libéra tout son vocabulaire. Je ne parvins pas à terminer ma dernière phrase qui voulait le supplier de se glisser entre mes fesses :
    
    — Enc…
    
    Car j’explosai dans un cri rauque et je tremblais des pieds à la tête. Il ne me laissa pas récupérer :
    
    — Vous voulez que je vous encule, madame Delcourt ?
    
    Je n’eus pas la force de répondre, mais je poussai mes fesses vers lui lorsque je sentis sa queue franchir la barrière de mon anus. J’eus un peu mal. Elle me sembla énorme. Ce n’est pas mon chéri ! Lui, il rentre facilement. Ou alors il a enfilé un capuchon pour la grossir ! Lui ou pas lui, je m’en foutais… complètement ! Je voulais qu’il me défonce et que je ne puisse plus m’asseoir pendant huit jours… je voulais qu’il me fasse jouir comme ça.
    
    Je n’y suis jamais parvenue avec mon homme. Sa queue qui glissait de plus en plus vite dans mon fourreau me procura une sensation indescriptible. Mon excitation était à son paroxysme. Mes tremblements devinrent presque frénétiques. J’avais envie qu’il se vide en moi. J’avais envie de sentir son sperme gicler au plus profond de moi. Il me pilonna ...
    ... longtemps puis mon vœu fut exaucé et je jouis alors qu’il m’inondait de sa semence. Quelques minutes plus tard, il se retira de mes fesses.
    
    — Vous pouvez vous rhabiller, madame. Tout fonctionne parfaitement. Il décrocha le téléphone :
    — Annie, vous pouvez introduire ma prochaine patiente dans la salle 4.
    
    Puis s’adressant à moi :
    
    — Je dois vous laisser madame Delcourt. Bonne fin de journée.
    — Merci… Euh… docteur.
    
    Chancelante, je me rhabillais lentement. Je rentrais chez moi, harassée. Vidée… et complètement détendue. J’étais dans un état second durant de nombreuses heures.
    
    Quand mon chéri revint, il ne me questionna pas. Je cherchais des signes. Il allait bien être obligé de se trahir.
    
    Lorsque nous fûmes au lit, n’y tenant plus, je l’interrogeai :
    
    — C’était toi, cet après-midi ? Bravo ! Ton maquillage était parfait. J’ai eu du mal à te reconnaître.
    — De quoi est-ce que tu parles, Alexandra ?
    — Du médecin, pardi ! De qui veux-tu que je parle ?
    — Quel médecin ? Je ne comprends rien à ce que tu dis.
    — Tu mens ! Je suis certaine que c’était toi !
    — Arrête de me traiter de menteur et dis-moi clairement ce qui se passe
    
    C’est pas possible, il avait l’air sincère! Me serais-je fait sauter par un inconnu ? Je le vois qui croise les bras. En général, ça n’est pas bon signe.
    
    — J’attends.
    
    Il a les yeux rivés sur moi. Je dois essayer de « noyer le poisson »… sans bafouiller.
    
    — C’est que je suis allée chez un médecin du travail cet après-midi… et il te ...
«1...3456»