Mon docteur chéri ? - Histoires de Sexe

Mon docteur chéri ?

... clitoris.

Il inspecta mon petit bouton en le faisant rouler entre le pouce et l’index. Je commençai à décoller.

— Détendez-vous, je dois voir comment vous réagissez.

Il commença à me masturber doucement. C’était délicieux. Je n’avais plus la force de rien. Je me sentais partir. Que ce soit mon mec ou un autre, à ce moment-là je n’en avais plus rien à faire. Je commençais à flotter vers d’autres latitudes. J’essayais de contrôler ma respiration qui s’emballait.

— Laissez-vous aller, madame Delcourt, ne cherchez pas à lutter.

J’obéis volontiers.

— Vous êtes prête ? On y va ?

Où veut-il aller ? Je compris aussitôt lorsque la cadence s’activa sur mon clito.

— On se laisse aller et on essaie d’avoir un bel orgasme.

Je ne me le fis pas dire deux fois. Je montais rapidement « dans les tours » et je laissais échapper de petits cris de fouine. J’explosai bientôt en soulevant violemment le bassin. Il calma le jeu sur mon bouton, mais n’arrêta pas de le tripoter pour autant, si bien que je repartis assez vite vers un second orgasme. Mince, deux fois de suite !

— C’est parfait, vos orgasmes clitoridiens sont excellents.

Je sentis soudain ses doigts me pénétrer et masser les parois de mon vagin. Ça y est, je repartis pour un tour et j’eus deux orgasmes successifs. Je crus devenir folle. Loin de me calmer, cela exacerba tous mes sens. J’étais une vraie pile électrique et, quoi qu’il en soit, en cet instant je n’eus plus qu’une envie : qu’il me baise à ...

... fond… bestialement !

— Vos orgasmes vaginaux sont également excellents.

Il me laissa reprendre mes esprits, puis :

— Je dois contrôler encore quelque chose. Venez vous mettre sur l’autre table.

J’obéis.

— À quatre pattes, s’il vous plaît.

Je me placai dans la position.

— Posez votre front sur la table. Les fesses bien en l’air.

J’obéis encore. J’avais la chatte en feu. Je tremblais. Je ne me reconnaissais plus. J’avais tellement envie de me faire sauter que je me sentais prête pour un gang-bang… Là, maintenant. Je ne m’étais jamais sentie salope comme ça. J’avais honte de le penser… mais j’aimais ça ! Sans prévenir, il posa sa main sur mes fesses et je sursautai.

— Chut… calmez-vous.

Me calmer ? Il m’avait fait jouir depuis une heure et il voulait que je me calme ? Je sentais maintenant ses mains qui écartaient mes fesses puis il posa un doigt sur mon anus. Je fermai les yeux et je pensai très fortVas-y enfonce-le profond… Il n’en fit rien, se contentant de masser.

— Je voulais juste voir si vous vous ouvrez facilement, mais vous me semblez un peu étroite.

Oh non ! Je sentis qu’il retirait sa main et m’abandonnait alors que ma liqueur inondait mes cuisses. Soudain, j’aperçus furtivement sa blouse tomber sur le sol. Puis je sentis bientôt sa queue venir au contact de ma cuisse gauche. Je tentai de la saisir de la main. L’engin de mon cher et tendre étant de petite taille, c’est le moyen infaillible pour l’identifier. Il arrête mon geste :

— ...