1. Mon docteur chéri ?


    Datte: 01/10/2020, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, noculotte, Oral pénétratio, fsodo, f+medical, Auteur: MonsieurDE, Source: Revebebe

    ... voyou !
    
    — On va passer à côté si vous voulez bien.
    
    Je le suivis dans une petite pièce aveugle. C’était une véritable salle d’examen. Rien ne me semblait y manquer.
    
    — Allongez-vous sur la table, s’il vous plaît.
    
    Il me prit la tension comme un vrai pro puis il m’ausculta au stéthoscope, consciencieusement. Très « professionnel », mon chéri ! Il a pris des cours de médecine ou quoi ? Il m’examina la gorge, rechercha d’éventuels ganglions au cou et sous les aisselles puis il me palpa le ventre dans tous les sens.
    
    — Mettez-vous debout et enlevez votre soutien-gorge.
    
    J’obéis à mon chéri – oui, c’est bien lui – sans rechigner, et je sentais l’excitation me gagner. Il me palpa les seins l’un après l’autre puis me pinça les tétons qui se dressèrent aussitôt. J’avais jamais remarqué que mon chéri avait les mains aussi fines !
    
    — Vous avez de très belles mamelles et vos tétons réagissent bien.
    
    J’eus envie de lui dire que c’est surtout dans ma culotte que je commençais à réagir ! Les mains continuèrent leur pelotage méthodique… Mais j’y pense ! Mon homme travaille la terre et il a les mains rugueuses ! Il n’a pas pu se faire une manucure à ce point ! Ou alors, il est « fort »… Très « fort » même. C’est vrai qu’il m’a souvent étonnée de mille façons… Mais là ! Mon chéri (ou l’homme) me fit pencher en avant pour, dit-il, bien pouvoir soupeser mes nichons. En fait, il continua de me peloter copieusement. Et j’aimais ça !
    
    — Enlevez votre culotte, s’il vous ...
    ... plaît.
    
    Ça y est, mon chéri était lancé ! Je retirai ma culotte. J’étais maintenant toute nue devant lui. Je le regardai droit dans les yeux et je ne parvins pas y retrouver le regard rieur… Peut-être à cause des lentilles ? Oui, c’est ça, il portait des lentilles ! J’étais perplexe. Je n’arrivais pas à avoir la certitude de me trouver devant mon mari. Et j’étais entièrement nue !
    
    — À quand remonte votre dernière visite chez un gynécologue ?
    
    Je re-bafouillai :
    
    — Euh… un an au moins.
    — D’accord. Vous avez des règles régulières ?
    — Oui, tous les vingt et un jours.
    — Bien. Quelle est la fréquence de vos rapports sexuels ?
    
    Comme s’il ne le savait pas !
    
    — Euh… Trois fois par semaine.
    
    Bien. Avez-vous des douleurs à la pénétration ?
    
    — Euh… non.
    — Bon, montez sur la table et mettez les pieds dans les étriers.
    
    J’étais vraiment désorientée. Ces questions intimes m’avaient terriblement excitée… et même si cet homme était un étranger, j’avais tellement le feu au ventre que je n’eus pas la force de résister et de m’enfuir. Tant pis pour lui ! – je parle de mon chéri.
    
    Je vis « l’homme » prendre une paire de gants stériles, puis il se tourna vers moi en souriant.
    
    — Il me semble que je n’ai peut-être pas besoin de mettre de lubrifiant, qu’en pensez-vous ?
    
    Je piquai un fard. Je devais être écarlate. Il ne me laissa pas le temps de répondre et posa ses doigts sur ma chatte. Je sentis un flot de liqueur couler sur le haut de mes cuisses.
    
    — Voyons ce ...
«1234...»