Lorsque la femme de mon cousin m'utilise pour se venger...
Datte: 30/09/2020,
Catégories:
fh,
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vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
confession,
Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe
... position allongée, ses seins reposaient, légèrement inclinés sur le côté. Lourds sans pesanteur, d’un blanc d’albâtre, imperceptiblement veiné de pâles arabesques bleu pâle, ils étaient couronnés d’une aréole rose fané et d’un mamelon, rond comme une petite cerise, et d’un ton à peine plus foncé. Son ventre ne présentait plus ce léger arrondi que j’avais observé lors de notre marche, soulignant ainsi, à la fourche de ses cuisses, le renflement de son pubis sous le tissu bleu.
— Je vais finir par me demander si je suis encore désirable ? murmura-t-elle.
Puis après un long silence, sur un ton qui ne me permettait pas de distinguer la plaisanterie de la simple question ingénue :
— Tu me trouves désirable toi ?
Que devais-je répondre ? Un « oui » pourrait être le début d’un enchaînement dont, par expérience, je pouvais prédire la fin. Mais peut-être ne suis-je qu’en train de délirer. Je cherchais une réponse et finis par dire.
— Honnêtement oui, tu es désirable… mais… tu es ma cousine… même par alliance.
— Donc tu me trouves désirable… mais… pour être ta cousine je n’en suis pas moins femme… et toi pas moins homme.
Je sentais le piège se refermer lentement. La dernière réflexion était lourde de sous-entendus. Je dois avouer qu’alors, poussée par des idées qui normalement ne devraient pas effleurer un cousin de près de soixante ans envers sa jeune cousine de vingt ans de moins, mon anatomie ne restait pas insensible à l’ambiguïté de la situation. Je sentais ...
... mon sexe se délover lentement et, malgré mes tentatives pour calmer ses ardeurs, il prenait des proportions à la hauteur de l’envie qui nouait mon ventre. J’essayais en vain de changer de position, craignant que mon trouble naissant ne vienne heurter, au propre comme au figuré, la jeune femme qui reposait sa tête sur mon ventre.
J’observais inquiet le visage de Rachel qui s’était légèrement empourpré. Le pli qui barrait son front avait disparu, elle paraissait sereine, maîtresse d’elle-même. Avec mollesse elle leva la main et vint la poser sur mon ventre près de sa joue. Je suivais avec anxiété le lent mouvement de sa paume. Sous l’effet de longues pulsions incontrôlables, mon désir prenait maintenant la forme une bosse qui me semblait monstrueuse sous le fin tissu de mon boxer. La main glissait lentement et vint se poser doucement mais sans hésitation sur mon sexe tendu. Un frémissement fit tressaillir les paupières de Rachel, sa bouche s’entrouvrit et exhala un long soupir de satisfaction.
Tétanisé mais fou de désir, je laissais la main tiède partir à la découverte de l’objet visiblement convoité. Sa paume massait lentement mon sexe, puis ses doigts, à travers le tissu, le saisirent et le tirèrent doucement vers le haut. Il reposait maintenant à l’horizontale sur mon ventre. Libéré de toute contrainte il semblait vivant, gorgé d’énergie, durcissant tout à son aise sous la caresse. J’observais en silence tantôt les doigts dessiner lentement la forme du membre puis ...