Lorsque la femme de mon cousin m'utilise pour se venger...
Datte: 30/09/2020,
Catégories:
fh,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
confession,
Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe
... attentives jusqu’à l’obsession à la moindre anomalie qu’elles imaginent comme des défauts flagrants, adoptent des gestes ou des attitudes machinales pour tenter de les masquer. L’une, trouvant son visage un peu trop rond au regard des diktats de la mode aura tendance à pincer inconsciemment l’intérieur de ses joues, l’autre, estimant sa poitrine trop forte, toujours selon les canons du temps, avancera légèrement les épaules…
J’en étais là de mes considérations et alors que je prenais lentement conscience que c’était le corps de la jeune cousine de ma femme que je détaillais, la voix de Rachel m’arracha à ma contemplation :
— Il est bien ton bouquin ?
Sans attendre ma réponse elle continuait :
— Je m’ennuie ici. Tu n’as pas envie d’aller marcher ?
Elle n’avait pas levé la tête et avait prononcé ces mots avec une apparente nonchalance, sur un ton monocorde, tout en gardant les yeux fixés sur la ligne d’horizon qui se fondait dans la mer.
Surpris comme un enfant pris en faute, alors même qu’elle n’avait probablement pas remarqué mes regards que je croyais discrets, je répondis sans réfléchir.
— Oui, si tu veux.
Elle balaya d’un revers de main, les cheveux blonds qui barraient son front et tourna vers moi, à ma grande surprise, un visage éblouissant de joie. Protégés du soleil par sa main légèrement tendue devant elle, ses yeux bleus perçaient entre ses paupières mi-closes et son sourire dévoilait dans la lumière des dents d’une perfection de nacre. Tout ...
... son visage resplendissait et, les yeux froncés par une moue volontairement enfantine, elle prit une petite voix malicieuse :
— Allez ! On y va ! Courage !
Elle se releva, ramassa un grand chapeau de paille et épousseta machinalement le sable qui était collé à ses jambes. Tourné vers Henri, son mari, elle lança :
— Chéri ! Je vais marcher jusqu’au bout de la pointe par les dunes avec Patrick. On en a pour une heure et demi environ. D’accord ?
Agenouillé aux pieds d’un des enfants dont il bouclait le gilet de sauvetage, Henri ne leva pas les yeux et sembla à peine acquiescer en dodelinant la tête. Les trois kayaks de mer, tenus par l’aîné, se balançaient au gré des vagues.
— Pfuutt !, murmura-t-elle, de toute façon il ne s’intéresse à rien quand il s’agit de moi. Je me demande parfois si j’existe encore.
Mutine, elle esquissa deux pas de danse espiègles et commença à avancer vers les dunes.
— Allez mon cousin, on y va.
Vêtu d’un simple boxer et regrettant de n’avoir pas enfilé une chemise, j’accélérai pour la rattraper.
Arrivés au pied de la dune et après avoir cherché en vain un effondrement au milieu de la courte végétation, je m’aventurai vers ce qui me semblait être une coulée de sable permettant de franchir la première crête.
— Attends, lui dis-je, je passe devant et je te tends la main.
Je grimpai jusqu’au sommet du monticule de sable et lui tendis une main qu’elle saisit tout en maintenant de l’autre son chapeau.
— Ouille ouille ouille, ...