Lorsque la femme de mon cousin m'utilise pour se venger...
Datte: 30/09/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
rousseurs,
extracon,
oncletante,
plage,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
confession,
Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe
... reins tandis que mes deux mains affairées la fouillaient.
Après quelques minutes de ce régime, Rachel se retira et pivotant, toujours à califourchon sur mon ventre, elle saisit mon sexe et le guida une habilité surprenante entre ses cuisses. Je pénétrai lentement le fourreau de son vagin qui, à ma surprise, s’avérait d’une étroitesse peu courante pour une multi-parturiente. Une fois assise autour de mon sexe, Rachel se redressa et glissa ses doigts dans ses cheveux pour dégager son visage. Elle avait conservé son sourire éclatant mais son visage avait pris la couleur d’un bel érythème. Les quelques cheveux blonds collés à ses tempes étaient le signe de l’intensité de son plaisir. Par modestie, je n’attribuais pas cet état à des performances exceptionnelles de ma part. L’abstinence qu’elle m’avait avouée, à laquelle s’ajoutait le caractère transgressif de cette première fois et le cadre exceptionnel de ces dunes, expliquaient bien mieux l’abandon impudique, voire lubrique, qui se lisait sur les traits de ma jeune cousine.
Je pris en conque au creux de mes mains les seins qu’elle m’offrait. Elle avait les yeux toujours clos, comme si elle voulait se concentrer sur le plaisir d’une chevauchée à venir ou, peut-être, pour éviter, par la vision du monde réel, d’éteindre le feu qui brûlait son corps. Avec une lenteur maîtrisée elle soulevait son bassin en s’appuyant sur ses genoux puis se laissait retomber autour du pal qui la pénétrait. Son visage rappelait celui d’une sage ...
... écolière s’appliquant à recopier des lignes sur la première page glacée d’un cahier neuf. Concentrée, elle semblait jouir de chaque millimètre avalé.
Petit à petit le rythme de ses mouvements s’accéléra et la promenade au pas se transforma en trot enlevé. Je ne savais plus où poser mes mains. Chaque partie de son corps était un nouveau trésor à inventer. Je passais de la rotondité élastique de ses fesses à ses cuisses tendues sous l’effort, puis caressais et soupesais ses seins avant de prendre l’ovale de son menton entre mes mains et de pénétrer sa bouche d’un doigt qu’elle aspirait et suçait avec gourmandise. La fraîcheur de son visage et les bouleversements du plaisir qui s’y lisaient me fascinait. Elle ouvrit enfin les paupières et planta dans les miens ses yeux dans lesquels je noyais la reconnaissance qu’elle y cherchait. Fixes, hagardes, rieuses, ses pupilles dilatées par le plaisir reflétaient tous les sentiments qui se mêlaient en elle. Un léger voile passa sur ses yeux, puis elle se reprit.
— Continue mon amour. Je crois qu’on nous observe… mais cela ne me dérange pas. Ne t’arrête pas. Je te veux en moi. J’en avais tellement envie… Laissons-les, ils ne font pas de mal. Je veux tout te donner. Tu es à moi. Je te sens en moi. Que c’est bon…
Surpris par sa réflexion, je tournai lentement la tête et aperçus, à quelques mètres, deux hommes entièrement nus qui nous observaient avec une paisible attention. L’un devait avoir une vingtaine d’années, grand, très fin, ...