Lorsque la femme de mon cousin m'utilise pour se venger...
Datte: 30/09/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
rousseurs,
extracon,
oncletante,
plage,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
confession,
Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe
... de sa propriétaire, lisse, rose, aussi frais que celui d’une jeune fille. Impossible d’imaginer qu’elle avait eu deux enfants. Les lèvres palpitaient espérant les caresses de mes doigts et de ma bouche.
Rachel, qui avait la réputation d’un enthousiasme de monitrice de colonie de vacances, se révélait de manière inattendue à mes yeux. Son sexe parfaitement rasé était surmonté d’une petite touffe de longs poils blonds, soyeux et diaphanes. Sans prendre le temps de me demander pourquoi une femme délaissée – à ses dires – depuis plusieurs mois prenait autant de soin de son intimité, préméditation ou sens extrême de la coquetterie, je plongeai mon visage entre les globes palpitants, appliquant la pointe de ma langue sur l’œillet de son anus. Un nouveau frémissement parcourut son corps et un long gémissement de plaisir se fit entendre.
Je m’enivrais du parfum opiacé de son intimité. D’une propreté méticuleuse, l’intimité de Rachel dégageait un parfum suave de plaisir auquel se mélangeait la légère transpiration de notre marche dans les dunes. Je descendais avec un bonheur de jeune conquérant vers son sexe qui à l’approche de ma bouche s’ouvrit comme les pétales d’une fleur, laissant suinter une goutte de rosée que je recueillis avec la pointe de ma langue. Rachel creusa les reins et recula son bassin pour venir l’écraser contre mon visage. Ma langue allait alternativement et avec autant de fièvre de son clitoris au plus profond de son intimité. Je reculai la tête pour ...
... reprendre ma respiration et contempler égoïstement le spectacle de cette intimité offerte dans un total et confiant abandon. À la fourche des lèvres maintenant luisantes de sucs et de salive, le bouton nacré de son clitoris, rouge comme une cerise, tranchait avec la pâleur lumineuse de ses cuisses. Voulant encore me repaître des délices de cette vision, je présentai deux doigts à l’entrée du tendre orifice de son vagin. Pressentant la caresse, Rachel creusa à nouveau les reins et vint s’empaler sur mon index et mon majeur réunis. Elle se mit lentement en branle, réglant le rythme de la pénétration.
Profitant des trésors qui m’étaient si ouvertement offerts, mon œil, comme hypnotisé, fixait son aimable vis-à-vis. Sous l’effet du désir, les petites rides son anus de déplissaient en rythme avec les mouvements de leur maîtresse. Sachant que ce genre de caresse n’est pas apprécié d’emblée par toutes les femmes, j’hésitais à le visiter, mais le rappel des gémissements qu’elle avait étouffés lorsque ma langue était venue lui rendre hommage, me poussa à approcher un doigt prudent. À peine fût-il effleuré que sa maîtresse dans son émoi comprit certainement mes intentions à son égard et recula légèrement pour me faire comprendre qu’elle n’opposerait que peu de résistance à cette nouvelle audace. Une première phalange s’insinua lentement, bientôt suivie d’une deuxième puis d’un doigt complet. Visiblement Rachel ne rechignait pas au plaisir les plus intimes. Elle continuait à pousser ses ...