1. La nana de mon père


    Datte: 23/09/2020, Catégories: Lesbienne Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... »
    
    « Elle s’appelait Laura. On était ensemble à la fac. »
    
    « Continue, dit sabine en replongeant sa tête entre mes cuisses. »
    
    « On se gouinait souvent, elle et moi. J’avais cessé de me prostituer, mais elle aimait que je lui raconte ce que ça faisait de se faire défoncer la chatte et le cul par des inconnus qui te filent du fric. Et elle a fini par le faire à son tour. Quelques semaines plus tard, pendant qu’on baisait toutes les deux, elle m’a dit qu’elle commençait à aimer ça. »
    
    « La petite putain… dit Sabine entre deux coups de langue. »
    
    « Oui, dis-je en me remémorant le corps de cette fille avec qui j’avais couché je ne sais combien de fois. »
    
    Puis j’ai joui sur la langue de Sabine.
    
    Ensuite, elle s’est relevée et s’est mise debout au-dessus de moi. Elle a écarté les jambes en pivotant et posé son cul sur ma bouche, et je me suis mise à lui bouffer la chatte, tout en me caressant le clitoris. Mes gestes étaient nerveux et la moule de Sabine avait goût de miel. Cette moule dans laquelle mon père fourrait sa queue. Dans ...
    ... laquelle il éjaculait probablement. Alors j’ai ouvert grand mes cuisses en imaginant qu’il approchait sa queue, puis qu’il me la mettait dans la chatte. Bien profond. En me disant qu’il n’avait jamais cessé de se branler en se remémorant mon cul le jour où il m’avait surprise en 69 avec ma copine, dans ma chambre. Mon cul et mes petits seins quand je m’étais redressée pour lui dire :
    
    « Mais qu’est-ce que tu fais là ? »
    
    J’ai de nouveau joui et j’ai entendu la voix de Sabine dire :
    
    « Tu me donnes envie de recommencer à me faire payer, petite pute. Veux-tu bien garder ça pour toi ? »
    
    J’ai secoué la tête à l’intersection de ses cuisses, sans prononcer un mot. J’adorais le goût de sa chatte et de son cul.
    
    Elle a ajouté :
    
    « Je vais le faire, dit-elle. »
    
    Je n’ai rien dit, je la léchais.
    
    Puis elle a répété :
    
    « Je vais le faire. »
    
    Et j’ai senti sa mouille couler sur mon menton. Elle a crié de plaisir et j’ai lapé sa mouille sans cesser de me branler le clito.
    
    C’était juste avant que mon père surgisse dans le salon.
    
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