1. La nana de mon père


    Datte: 23/09/2020, Catégories: Lesbienne Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... »
    
    « Ça te choque ? dit Sabine. »
    
    J’ai avalé mon kir d’une traite et répondu :
    
    « Je peux te prendre une cigarette ? »
    
    Elle s’est empressée d’att****r son paquet et de me le tendre. J’en ai pris une et elle m’a donné du feu. Elle a reposé son briquet sur la table, puis elle a changé de position dans le canapé.
    
    J’ai fini par lui répondre :
    
    « Il avait quel âge, ce mec ? »
    
    « La cinquantaine, dit Sabine. Il était plutôt cool avec moi et ma mère n’en a jamais rien su. Par contre, elle aurait dû se marier avec lui, car il est mort d’une crise cardiaque l’année où je suis entrée à la fac. C’est son fils unique qui a hérité. Ma mère n’a rien touché. Quelle connerie… Et toi, quels âges ont les hommes avec qui tu couches ? »
    
    J’ai haussé une épaule et dit :
    
    « Souvent la quarantaine. Parfois plus vieux. »
    
    « Plus vieux, c’est-à-dire ? »
    
    Je n’ai pas osé la regarder en répondant :
    
    « Cinquante, soixante. Ils payent très bien. »
    
    Elle me fixait du regard en tirant sur sa cigarette. Elle portait une robe blanche assez courte et souple, à petites bretelles. Elle avait les cheveux mi-longs et de grands yeux marrons dotés de longs cils.
    
    « Ils te demandent quoi ? dit-elle. »
    
    Je fumais à toute vitesse. Une tafe toutes les dix secondes. Et je buvais, j’étais un peu nerveuse.
    
    « Des trucs tordus, des fois, dis-je. Mais ça paye bien. »
    
    « Tu me trouves indiscrète ? dit-elle. »
    
    J’ai remué la tête et répondu :
    
    « Non, c’est juste que tu es la première ...
    ... à qui j’en parle. »
    
    « Et tu as honte ? »
    
    Je me suis penchée en avant pour écraser mon mégot dans le cendrier et j’ai dit :
    
    « Non, pas honte. »
    
    « Ils te demandent quoi ? insista Sabine. »
    
    J’ai soupiré. Une petite voix me suggérait d’en rester là et de rentrer chez moi, tandis qu’une autre me poussait à poursuivre. Je me sentais bien avec cette femme. Et puis j’étais pompette.
    
    Je lui ai dit :
    
    « Je me fais souvent des couples. »
    
    Elle a souri et pris une gorgée de kir.
    
    Puis dit :
    
    « Tu veux dire que tu baises avec leurs femmes ? »
    
    « Pas tout le temps. Il y a des femmes qui se contentent de me regarder baiser avec leur mari. »
    
    « Mais tu baises avec certaines ? »
    
    « Oui. »
    
    « Des femmes de quels âges ? »
    
    Mon verre était vide.
    
    « Entre quarante et cinquante-cinq, dis-je avant de me pencher vers la table pour remplir les deux verres en essayant de ne rien verser à côté. »
    
    Sabine me suivit des yeux.
    
    Puis elle dit :
    
    « Eh bien, on en a des secrets toutes les deux… »
    
    J’ai souri. Je n’ai rien dit.
    
    Elle a pris son verre en me remerciant et j’ai pris le mien.
    
    Elle a bu une gorgée en me regardant, puis elle m’a dit :
    
    « Tu aimes les femmes ? »
    
    J’ai dû rougir à cet instant, car elle venait de poser le doigt sur un point sensible. Je n’ai pas souri en répondant :
    
    « Oui. »
    
    Le soleil projetait des figures géométriques éblouissantes sur le sol du salon et on entendait le murmure incessant de la circulation dans la ville. Une ...