1. La nana de mon père


    Datte: 23/09/2020, Catégories: Lesbienne Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... sirène de police ou de pompiers par moments. Des klaxons. Il faisait chaud. Nous étions fin juin.
    
    J’étais pompette. Sabine aussi.
    
    Au bout d’un moment de silence, elle m’a dit :
    
    « J’ai quelque-chose à te dire. »
    
    Pour seule réponse, je l’ai regardée.
    
    Elle a précisé :
    
    « Je voudrais sucer ta petite chatte de pute pendant que tu me racontes les trucs tordus que des clients te demandent. »
    
    Deux minutes plus tard, j’étais à poil dans le canapé, les cuisses ouvertes en direction de Sabine qui s’était mise à poil aussi, puis à quatre pattes pour approcher sa langue de ma moule.
    
    Elle y donna deux longs coups de langue, puis elle me fixa du regard :
    
    « Cite-moi des trucs tordus. »
    
    Puis elle replongea entre mes cuisses et je fermai les yeux. Elle bavait sur ma chatte avant de laper comme une chienne.
    
    J’ai dit :
    
    « Je me gouine avec des femmes devant leurs maris. Elles me demandent de m’asseoir sur leur bouche. Ou alors c’est l’inverse : elles viennent poser leur chatte sur mon visage pendant que leur mari me pénètre sans préservatif. Continue de me bouffer comme ça, s’il te plait… »
    
    Sabine leva les yeux vers moi et dit :
    
    « Je continue de te bouffer si tu continues de me raconter. »
    
    Et elle replongea.
    
    Je me touchais les seins, les yeux tantôt ouverts, tantôt fermés.
    
    J’ai continué :
    
    « Parfois, je vais dans une chambre avec l’homme pendant que la femme reste dans la pièce à côté. Ils me baisent en me traitant de tous les noms ou en me ...
    ... faisant des câlins, tout dépend des clients. Il y en a qui aiment que je les appelle “Papi”, ou bien “Papa”. Ça ne me dérange pas. »
    
    Sabine releva la tête :
    
    « Est-ce que ton père t’a déjà touchée ? »
    
    « Pas vraiment. »
    
    « Comment ça, pas vraiment ? Il t’a déjà touchée ou pas ? »
    
    Je ne la regardais pas. J’étais tournée vers la fenêtre du salon qui donnait sur des toits de la ville. Et pendant une seconde, je me suis demandée si par hasard quelqu’un n’était pas en train de nous observer avec des jumelles.
    
    J’ai répondu :
    
    « Juste des petits bisous affectueux sur la bouche, parfois. Une seule fois, il m’a touché les seins. J’avais douze ans. Il était ivre. Mais je garde un bon souvenir de ce câlin-là. »
    
    « C’est vrai ? Tu as aimé ? »
    
    « Oui, dis-je en refermant les yeux. »
    
    « Est-ce que tu aimerais qu’il te tripote un peu, un soir où je serais là, avec vous ? Qu’il te touche les seins pendant que vous vous embrassez sur la bouche devant moi ? »
    
    J’étais sur le point de lui répondre quand elle ajouta :
    
    « Est-ce que ça te dérangerait de faire l’amour avec ton père, pendant que je me masturbe en vous regardant ? Dans ce salon, là. Dans ce canapé. Ou dans la chambre ? Est-ce que ton père t’a déjà vue à poil depuis que tu as cessé de sucer des queues au lycée, petite pute ? »
    
    « Oui, dis-je aussitôt. »
    
    « A quelle occasion ? »
    
    J’étais au bord de jouir.
    
    J’ai dit :
    
    « Il m’a surprise dans ma chambre avec une fille. »
    
    « C’était qui, cette fille ? ...