1. Une douce vengeance


    Datte: 19/04/2018, Catégories: 2couples, couplus, extracon, copains, fépilée, lunettes, fdomine, vengeance, rasage, Oral pénétratio, hdanus, hgode, échange, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... doudou vient d’envoyer la purée. Elle en a sur les lèvres, le visage et les seins.
    
    — Désolée, je n’aime pas trop ça, me dit-elle en se rinçant la bouche avec un verre de Meursault.
    
    Elle s’essuie le visage avec une serviette de table.
    
    — Et si on s’occupait du mien, maintenant ?
    
    Nous laissons là mon mari pour nous intéresser à Jean-Michel.
    
    — Je t’ai déjà dit que mon Mimi est un virtuose de la langue ?
    — Normal : c’est un homme cultivé et lettré.
    
    Il ne nous faut que quelques instants pour allonger le cobaye sur le lit. Le spectacle que nous venons de donner l’a déjà bien mis en forme, mais son épouse lui redonne un petit coup de fouet en lui léchant la verge de bas en haut.
    
    Elle m’invite :
    
    — Viens t’asseoir sur lui ; tu verras, c’est un lécheur de première.
    
    Sur ses conseils, je pose mon minou sur le visage de son mari.
    
    Annabelle lui attrape les poignées d’amour et lui intime l’ordre de s’occuper de moi.
    
    — Au boulot ! Nous avons une invitée ; je compte sur toi. Sois performant ! dit-elle en lui secouant le mandrin.
    
    Je sens sa langue caresser mes lèvres. Son nez vient se placer juste sous mon interrupteur céleste. Il le remue.
    
    — Je sens les poils de sa barbiche frotter sur ma peau. Ça chatouille !
    — Te l’avais dit. Le résultat est surprenant.
    
    C’est vrai qu’il est doué, l’animal… Il ne lèche pas : il caresse, aspire, mordille, pince, enfonce sa langue un peu partout. À mon attitude, elle voit l’effet que me font ses caresses. Je me sens ...
    ... partir.
    
    — Attends, maintenant on va changer.
    
    Déçue, je me lève. Ça commençait à peine, et c’est déjà fini.
    
    Il a la barbiche qui dégouline, comme moi.
    
    — Viens prendre place sur sa Sainte-Trinité. Je vais m’occuper du tien.
    
    Je la vois étendre mon mari sur le lit, toujours attaché. Elle peine un peu ; il est difficile à manipuler par une faible femme. Le bidule toujours planté dans le fion lui retransmet en direct mes émotions. C’est qu’il est de nouveau en forme !
    
    Je suis agenouillée, les jambes écartées au-dessus du bas-ventre de Jean-Mimi. Pour passer le temps pendant qu’elle prépare mon mari, je me caresse les lèvres et mon bouton avec le concombre galant mis à ma disposition.
    
    — Toutes les deux ensemble, lui dis-je.
    — Une…
    — Deux…
    
    À trois, nous nous empalons sur ces deux beaux engins. Sans aucune difficulté : nos préliminaires nous ont mises dans de bonnes dispositions.
    
    La sensation est différente. Même taille, mais le mistigri de Jean-Michel est un peu courbé sur la droite. Nos fesses sont posées sur le ventre des nos hommes. Nous commençons à jouer les cavalières sur ces axes. Je roule des hanches, je contracte les muscles de mon ventre. Je lui mâchouille le grand chauve.
    
    Je prends appui d’une main sur la poitrine de Jean-Michel tandis qu’Annabelle, bien droite, se caresse les seins. Ses cours de yoga portent leurs fruits. Tout comme elle, je fais coulisser ce bel engin dans mon intimité. Après toute la mise en scène que nous venons de faire, ...
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