1. Le don


    Datte: 14/09/2020, Catégories: ffh, enceinte, hotel, fsoumise, pénétratio, init, confession, Auteur: Julien Mar, Source: Revebebe

    ... souhaitait que cela se passe le plus simplement possible. En missionnaire, c’était assez commode pour nous, et j’aimais bien cette position qui me permettait de voir son visage au moment de jouir.
    
    Son sexe était assez poilu. Les regards qu’elle portait sur mon sexe bien endormi ne m’aidaient pas à me rassurer. À genoux au bord du lit, d’une main timide, elle le caressait. Sa main chaude me faisait du bien, et Mélissa, assise dans le fauteuil à côté du lit, me procurait des paroles rassurantes. Nous avions le temps ; il ne fallait pas se presser. Et s’il le fallait, elle m’aiderait à trouver l’excitation elle aussi.
    
    Doucement, mon sexe prenait de la vigueur, le visage d’Aurélie perdait un peu l’inquiétude qu’il avait. Ses caresses m’avaient fait du bien et je regardais sa motte poilue avec envie. Avec beaucoup de douceur, je me couchai sur elle et la pénétrai doucement. Elle poussait seulement de petits sons à chaque coup de reins de ma part. Je la rassurais en lui demandant si tout allait bien pour elle.
    
    Son amie à nos côtés lui caressait les cheveux ; elle semblait avoir des larmes aux yeux. L’émotion de la portée du geste, ou ce serrement du cœur à voir la femme de sa vie sous les assauts d’un homme, je ne sais pas vraiment.
    
    À une ou deux reprises j’ai croisé le regard de Mélissa ; elle était simple spectatrice du plaisir que je prenais avec Aurélie. J’avais envie de la rendre jalouse : je baisais son amie sans autre but que de jouir de façon égoïste. ...
    ... L’étreinte avait duré quelques minutes ; je sentais mes testicules se coller contre mon corps, les premières contractions dans l’entrejambe.
    
    L’idée que cette éjaculation allait être porteuse de vie décuplait mon plaisir : j’étais un étalon qui venait saillir une belle jument, ma semence était précieuse. La jouissance a été forte, sans doute une des plus intenses que j’ai eu l’occasion de connaître jusque là. Et je ne voulais pas quitter ce corps, cette chaleur. Laisser reposer mon sexe dans ce vagin qui me paraissait étroit. Elle avait posé ses mains sur mes hanches. Pas de caresses, bien sûr, mais des mains qui semblaient manifester la confiance qu’elle avait en moi, un timide encouragement à faire mon devoir, car je sentais bien qu’elle ne pouvait pas se donner à moi comme si nous étions des amants. Il n’y avait pas de ça entre nous, et tout cela était clair, dès le début.
    
    En sortant de son corps, j’ai vu le bonheur du couple, le soulagement d’avoir réussi cette tentative. Du sperme coulait du sexe d’Aurélie, arrosait sa toison. C’était pour nous un triomphe que de voir ma semence mouiller les poils de son sexe. Elles voulaient rester entre elles ensuite, partager un moment d’intimité, se sentir amoureuses.
    
    J’éprouvai, sur le chemin qui me ramenait à mon appartement, un sentiment de plénitude, de bien-être comme rarement j’avais pu en connaitre. Enfin, nous étions allés au bout de cette aventure. J’avais fait ce don, je me sentais homme, je me sentais fort.
    
    Quand elles ...
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