1. Totale déchéance (1)


    Datte: 13/09/2020, Catégories: Divers, Auteur: matchless, Source: Xstory

    ... au niveau de son prépuce, comme si elle jouait à trappe-trappe avec une micro-particule, indiscernable à l’œil nu, se baladant sur toute la surface de son gland.
    
    -Oh putain, c’est pas ma femme qui va me faire ressentir des trucs pareils, s’extasia le quinquagénaire entre deux halètements.
    
    -Si tu pouvais éviter de parler de ta femme pendant que je soigne tes démangeaisons, ça m’arrangerait, Henry, se frustra la jeune femme ayant ôté succinctement de sa bouche ce avec quoi elle s’amusait.
    
    Henry, ignorant la remarque de sa maîtresse, ne put résister à l’envie d’ôter la robe blanche de la jeune rousse. Les sous-vêtements de la jeune femme, faits de dentelle blanche, ne cachèrent pas plus longtemps les zones intimes de leur propriétaire. Henry, excité plus que de raison face à ce corps dénudé et resplendissant de la beauté que seule la jeunesse apportait encore naturellement, ne put contenir ses hormones, et la pénétra aussitôt après l’avoir rejointe sur son lit.
    
    -Salut les filles, on se voit le mois prochain !
    
    Sylvia sortait du bar « Au Lyon d’or ». Comme elle l’avait dit à son mari, elle n’avait pas ingurgité beaucoup d’alcool, aussi put-elle s’apercevoir de l’absence de la voiture de son mari.
    
    -Mais quel putain de connard de merde ! jura-t-elle.
    
    Ses boucles d’oreilles s’agitant dans le vent du crépuscule, elle redressa l’une des bretelles de sa robe bleue qui menaçait de glisser le long de son bras. La canicule tiraillant la région depuis la veille avait ...
    ... gardé l’air chaud. Non pas que ce fût désagréable pour Sylvia, mais perturbant.
    
    La quinquagénaire attendit son mari une demi-heure durant, puis se rendit à l’évidence : il ne viendrait pas. Sylvia hésita à demander à l’une de ses amies de la ramener chez elle, mais elle se voyait très mal entrer derechef dans le bar et rejoindre les trois femmes avec qui elle avait discuté pendant des heures pour écourter leur rencontre.
    
    -Bon, tant pis, je vais prendre le bus, maugréa-t-elle en se dirigeant vers le petit abri de bus, situé à une centaine de mètres de sa position.
    
    Énervée, elle traversa la route afin de rejoindre le trottoir sur lequel se trouvait l’abri.
    
    Henry, allongé aux côtés de sa maîtresse, ronflait tandis qu’il reposait son esprit et son corps fatigués par l’activité qu’ils avaient faite.
    
    -Hé, Henry ! Le réveilla sa maîtresse, nue, en lui secouant l’épaule.
    
    Le quinquagénaire râla en se débattant stupidement.
    
    -Henry, tu t’es endormi ! persévéra la jeune femme.
    
    Il ouvrit les yeux. Lentement. Très lentement.
    
    -Kès tu dis ?
    
    -Je te dis que tu t’es endormi.
    
    -Il est quelle heure ?
    
    -Onze heure et demi.
    
    Henry, qui s’était assoupi dans sa tenue d’Adam, eut un soubresaut en réalisant le bêtise qu’il avait commise.
    
    -Merde ! Je devais aller chercher ma femme à son bar à vingt et une heure !
    
    -Tu devrais peut-être...
    
    -Oh, et puis je m’en branle de cette pute, se ravisa Henry en coupant la parole à sa maîtresse. De toute façon, je comptais ...
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