1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (6)


    Datte: 12/09/2020, Catégories: Gay Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... les fesses du gars. Le sergent, motivé, décida d’employer les mêmes moyens avec son partenaire. Ainsi, côte à côte, croupes tendues, les deux soldats accusèrent de violents coups en étouffant leurs cris. Cela ne s’arrêta que lorsque le cul du soldat Jouy fut écarlate.
    
    Alors mon mari et le sergent pénétrèrent sauvagement les deux conscrits.
    
    Ce n’était que gémissements, bruits des chairs claquant les unes contre les autres et propos orduriers des deux actifs.
    
    J’étais choquée parce qu’ils parlaient des appelés au féminin: "pute, salope, chatte, moule, bonne..." Comme si cela avait été une femme ou... moi et, d’ailleurs, je comprenais beaucoup mieux pourquoi mon homme tenait tant à me prendre si souvent par-derrière, debout ou en levrette. Il avait si souvent insisté pour me sodomiser. Je l’avais refusé... toujours. Et maintenant, il... il sodomisait un homme... et avec une jouissance non dissimulée.
    
    Plus le temps s’écoulait plus je sombrai dans l’hébétude. Je ne fis même pas attention à la beauté de ces quatre hommes. Les voir ainsi était pourtant propre à satisfaire les plus difficiles en termes d’esthétique. Mon mari était le plus petit des quatre, tout en masse, râblé. Le sergent était un géant de plus d’ 1.90 m. Tous deux étaient très baraqués. Les muscles de leurs dos, leur cul bombé, la puissance des jambes poilues, le tout en mouvement, étaient, à tout prendre, envoûtant. Mais pour le moment, cela me donnait envie de gerber. Je n’étais pas au bout de mes ...
    ... surprises pourtant.
    
    Tout à coup, Vidane mit sa main droite sur l’épaule du type noir lui libérant ainsi les hanches auxquelles il se cramponnait fort, et dégageant ainsi son bras gauche. Il posa alors sa main sur les fesses de mon mari. Celui-ci l’imita, mais bien sûr de sa main droite, et ils se penchèrent l’un vers l’autre pour se rouler une pelle gigantesque tout en continuant de bourrer les deux types. Jamais il ne m’avait embrassée comme cela.
    
    Le soldat antillais était grand et musclé également et le jeune Jouy bien que plus gracile était très dessiné. Ses poils bruns qui descendaient entre ses pectoraux jusqu’à son sexe n’étaient pas le moindre de ses atouts virils.
    
    On leur demanda de se mettre tête-bêche sur le côté en fellation, allongés sur le lit. Et, tandis qu’ils se pompaient vigoureusement, mon mari prit le black et le sergent l’autre.
    
    Je finis par ne plus voir ce qu’il se passait. Mes yeux étaient pleins de larmes, mon esprit fracassé. Combien de temps restai-je ainsi à entendre confusément les cris, les grognements, les bruits de rut, je ne puis le dire. Je ne fus tirée de ma torpeur que par des cris plus forts que les autres.
    
    C’était le sergent qui gueulait.
    
    — Avale, salope, avale...
    
    Le sergent tentait de maintenir sa queue dans la bouche du black alors tout en éjaculant mais ce dernier faisait des efforts désespérés pour se dégager et recracher le flot de sperme qui l’étouffait.
    
    Le sergent se retira finalement en riant, un rire de ...