1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (6)


    Datte: 12/09/2020, Catégories: Gay Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... se déshabiller. L’autre l’imita... Je ne les vis que de dos mais c’était de très beaux garçons, bien taillés, surtout l’Antillais.
    
    — Remettez vos rangers ! Garde-à-vous !
    
    Ils obéirent. Je ne voyais pas pourquoi les foutre à poil et les obliger à se rechausser. Cela n’avait aucun sens !
    
    Mon mari se présenta derrière le black.
    
    — Ecarte tes jambes sale fiotte !
    
    Le gars le fit.
    
    — Alors mon gaillard, on aime mettre sa grosse bite dans un petit cul blanc ?
    
    — Oui mon capitaine. Rétorqua l’autre, à peine audible.
    
    De son côté le sergent fit mettre le soldat Jouy à genoux.
    
    — Alors, on aime sucer de la grosse bite black ?
    
    Et simultanément mon mari et le sergent, défirent leur ceinturon et baissèrent leur pantalon. Ils bandaient.
    
    J’étais sidérée, le souffle coupé. Je ne croyais pas ce que j’étais en train de voir.
    
    — Suce ! Ordonna le sergent.
    
    Le soldat Jouy ne se fit pas prier. D’ailleurs, jusqu’ici, il avait été très coopératif, obéissant toujours aux ordres avant son camarade. Je compris ce que voulait dire le "dans la combine" que j’avais entendu dans la conversation en arrivant... Il n’en était pas à son coup d’essai, il jouait le rôle de rabatteur et obéissait docilement pour vaincre les hésitations et éventuelles protestations de l’autre type.
    
    Mon mari commença à sodomiser le soldat antillais.
    
    — Aïe, vous me faites mal mon capitaine, cria l’autre.
    
    — T’es peut-être puceau du cul salope...
    
    — Oui... mon capitaine...
    
    — Eh ben mon ...
    ... garçon, quand on veut faire la lopette, on le fait jusqu’au bout ! J’vais t’apprendre à enculer tes camarades moi ! Sergent, du gel !
    
    Le sergent fila droit vers l’armoire et y prit sans hésiter ce qu’on lui demandait, preuve qu’il y était un habitué des lieux... plus que moi qui ignorais la présence de ce tube dans mon propre logis.
    
    J’étais assise par terre. Je pleurai abondamment. Je ne sentais même pas le froid du carrelage.
    
    Le sergent reprit sa place pour se faire sucer tout en se déshabillant complètement. Mon mari se mit torse nu.
    
    Le gars pignait mais la queue entra et mon mari se mit à déglinguer le mec.
    
    — Alors, elle est bonne ma queue pédale ? T’aimes la grosse bite hein ?
    
    — Elle est bonne mon capitaine ? Demanda Vidane.
    
    — Putain, une bonne petite chatte serrée. Vot’ grosse nouille va se régaler sergent. Et la bouche sergent ?
    
    — Bonne pipeuse mon capitaine, si je la laisse faire, cette salope va me pomper jusqu’au jus.
    
    — Allez, on échange.
    
    Profitant de la circonstance, mon mari se dénuda complètement. Le sergent ordonna au black de se foutre à genoux et le sodomisa d’un coup, arrachant un cri de douleur à sa pauvre victime.
    
    Je vis mon mari prendre le soldat Jouy par les épaules pour le forcer à se pencher en avant vers le lit, les jambes écartées le cul bien ouvert. Puis il commença à peloter les fesses du mec, les écarta, se baissa et lui bouffa le cul. J’étais quasi morte !
    
    Puis il prit son ceinturon et en donna un grand coup sur ...