0208 Très chaud sous la couette, et petits mots sur l’oreiller.
Datte: 07/09/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... envie… j’aime sentir que tu es impatient que je te prenne… j’aime te voir frissonner quand je pose mon gland sur ton entrée, t’entendre souffler quand je force, sentir tes muscles s’ouvrir, et voir ton corps se relâcher quand je viens en toi… ».
« Et quand tu es dedans ? ».
« J’aime sentir ma queue enserrée par ton trou… j’aime ressentir le contraste entre mon envie de te remplir et ton envie d’être rempli… j’aime la sensation de me sentir le « mec » dans l’acte… et voir le plaisir que ma queue te procure… ».
« Et moi, j’aime te montrer que mon corps n’oppose aucune résistance, qu’il t’est complètement offert… j’aime te montrer le plaisir que je prends grâce à ta queue, à ta virilité… j’aime satisfaire tes envies de mec, m’offrir à toi sans conditions… j’aime me montrer soumis à ta puissance virile… j’adore sentir ton envie de me remplir, ça me fait immédiatement sentir à toi, complètement à toi… j’aime quand tu es en moi, bien excité, bien chaud, bien lancé vers ton orgasme : dans ces moments-là, tout mon désir sexuel et mon plaisir circulent entre mes fesses, mon trou, mes tétons…
En fait, le plaisir de passif, c’est un plaisir autant physique que mental… quand tu me prends, je jouis autant dans le ventre que dans ma tête… et j’oublie carrément que j’ai une queue moi aussi… il y a eu des fois, comme tout à l’heure, où tu m’as tellement bien secoué que j’ai joui sans même me toucher… et même des fois où j’ai pris un plaisir fou, sans même avoir besoin de jouir… ...
... »
« Mais tu aimes quand même jouir… comme un mec… je veux dire… ».
« Oui, parfois, oui… quand tu me branles, ou quand tu me suces… mais quand tu me prends, mon plaisir est ailleurs… quand tu es en moi, je suis dans un autre monde… je suis tellement bien, je voudrais que ça ne s’arrête jamais… c’est paradoxal… quand tu es en moi, je suis à la fois impatient de te sentir jouir, et inquiet que ça arrive, que tes coups de reins s’arrêtent, que tu sortes de moi… déjà, quand tu te retires de moi juste pour changer de position, c’est insupportable… mais alors, quand tu jouis en moi, l’idée que tu sortes de moi est carrément insoutenable… je voudrais que tu ne sortes jamais de moi… ».
« Je kiffe savoir que nos corps et nos plaisirs sont si complémentaires… ».
« Moi aussi… si tu savais… »
« J’aime t’entendre gémir de plaisir, te voir te cambrer sous mes coups de reins… j’aime sentir tes bras, tes mains qui s'enroulent autour de mes cuisses, de mes biceps, qui serrent mes pecs comme pour m'empêcher de ressortir… j'aime voir tes yeux qui s'ouvrent, inquiets quand je sors de toi… et lorsque je reviens, te voir sourire de plaisir, laisser échapper un gémissement…
Et ça te fait quoi comme sensation quand je gicle en toi ? ».
« Quand tu jouis, et que je reçois ton jus en moi, c’est pour moi le plus intense de tous les plaisirs… j’ai l’impression d’être fécondé par mon mâle… ».
« Et moi, j’aime sentir qu’un peu de moi vient en toi… ».
Puis, après une petite pause, ...