1. 0208 Très chaud sous la couette, et petits mots sur l’oreiller.


    Datte: 07/09/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... avec le gars que j’aime.
    
    Mon bel étalon est endormi sur le dos, le haut de ses pecs et ses épaules dépassent de la couette, les bras pliés, les mains posées sur l’oreiller, de part et d’autre de sa tête, les aisselles délicatement poilues bien exposées à ma vue et à mon désir.
    
    Après de nombreux orgasmes en quelques heures, il se dégage de son corps, et notamment de ses aisselles, une odeur prégnante qui n’est pas que le souvenir de sa transpiration, mais comme une odeur de sexe, une odeur de mâle. L’odeur des corps change après l’amour ; l’entente sensuelle est aussi une question d’odeurs : et qu’est-ce qu’elle est bonne, cette entente, avec mon Jérém !
    
    Je suis irrépressiblement attiré par son aisselle la plus proche de moi ; je ne peux résister à la tentation de plonger mon nez dedans, de m’enivrer de ces délicieuses odeurs de jeune mâle.
    
    « Il faut que je me douche » fait Jérém, la voix pâteuse.
    
    « Tu sens tellement bon… ».
    
    « Je pue… ».
    
    « Tu sens l’amour… et le plaisir… ».
    
    Un instant plus tard, nos torses se frôlent, nos sexes aussi ; j’agace ses tétons, sa main saisit nos deux queues en une seule prise et commence à les branler ; la sensation de frottement de nos gland l’un contre l’autre est magique.
    
    Une nouvelle fois, nous faisons l’amour ; une nouvelle fois, il me remplit de sa semence ; et une nouvelle fois, il me prend dans ses bras musclés, devant le feu de la cheminée.
    
    « Qu’est-ce que j’aime, te faire l’amour… » il lâche tout bas.
    
    « ...
    ... Si tu savais comment j’aime, moi, quand tu me fais l’amour… ».
    
    « Vraiment, je n’ai jamais autant pris mon pied qu’avec toi… ».
    
    « J’adore t’entendre dire ça… ».
    
    « C’est qu’avec toi… avec toi… je suis en phase avec mes envies… ».
    
    « Tu me rends dingue, Jérém… ».
    
    « Toi aussi, Nico… ».
    
    Le bobrun me serre un peu plus fort dans ses bras, il couvre mon cou de bisous ; je me blottis un peu plus dans ses bras, je serre sa main, je la presse contre mon cœur : elle est douce et chaude ; je plaque ma main dessus, comme pour la retenir.
    
    « Je me suis toujours demandé ce que tu ressens quand je te fais l’amour… » je l’entends lâcher, après un petit moment de silence et de tendresse.
    
    « Et moi je me suis toujours demandé ce que tu ressens quand tu me fais l’amour… ».
    
    « C’est moi qui ai demandé en premier… » il me taquine.
    
    « C’est vrai, tu veux savoir ? ».
    
    « Oui… carrément… ».
    
    « Rien que le fait de te sentir venir en moi, et de t’avoir en moi me procure beaucoup de plaisir… après, quand tu commences à me faire l’amour, j’adore sentir tes coups de reins… sentir ta queue aller et venir en moi me rend dingue… j’adore sentir que tu te fais plaisir avec mon corps… ça aussi, c’est vraiment le pied… j’aime sentir que, pendant le sexe, tu es le mec…
    
    Et toi… tu ressens quoi quand tu me prends ? ».
    
    « Ce que j’aime le plus, c’est sentir que t’as très envie de moi… ».
    
    « Ça se voit à ce point ? ».
    
    « Oh, oui… c’est comme si ton corps tout entier irradiait cette ...
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