0208 Très chaud sous la couette, et petits mots sur l’oreiller.
Datte: 07/09/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... pecs, de ses abdos ; elles glissent le long du petit chemin de poils bruns qui amènent à son pubis. Je frissonne, il frissonne.
Je cesse alors de le branler, j’approche mon visage de ses bourses, que je renifle longuement, méthodiquement, dans chaque moindre recoin ; je renifle sa queue tout aussi longuement, laissant le bout de mon nez traîner, effleurer, exciter : je remonte jusqu’à effleurer le frein, contact qui fait sursauter le bogoss, de surprise et de plaisir.
Voilà un long et délicieux voyage agrémenté d’une multitude de petites, délicieuse odeurs de mâle qui a déjà pas mal donné de sa puissance sexuelle, mais toujours débordant de testostérone : un mâle dont le torse ondule désormais sous l’effet d’une respiration excitée.
Encouragé par ses réactions, j’attaque illico un deuxième tour, en me servant de mes lèvres ce coup-ci. J’accomplis le même voyage, tout en provoquant des frissons encore plus intenses : sa respiration haletante cède peu à peu la place à de petits gémissements, et à des mots d’encouragements :
« Putain, Nico… tu me rends dingue… ».
Je dois me faire violence pour ne pas céder à la tentation assommante de gober son gland gonflé à bloc et de provoquer au plus vite sa jouissance : la condition pour le faire jouir comme un malade, c’est de le frustrer ; le pendant, c’est de me frustrer avec lui.
« Suce-moi… » je l’entends chuchoter, sur un ton assez ferme. Ça ne rigole plus.
« Pas encore… » je le cherche.
« J’ai trop envie… ...
... ».
« Moi aussi… ».
« Tu vas craquer, de toute façon… » il me nargue.
« C’est toi qui vas craquer… ».
« Jamais de la vie… » fait-il, la voix déformée par l’excitation.
« Si au prochain tour je mets la langue, tu vas craquer… ».
« Tu vas te jeter dessus avant… ».
« Chiche… ».
Troisième round, c’est au tour de ma langue de faire monter la pression chez le bobrun : elle s’emploie à lécher ses couilles, à chatouiller ses bourses ; elle remonte sa queue lentement, tantôt en lâchant des petits coups rapides, tantôt en traînant ; elle remonte jusqu’au frein, arrachant des frissons violents à ce petit Dieu à l’anatomie parfaite.
La queue brûlante, le gland gonflé à bloc, le bogoss se plie pourtant à l’interminable attente d’un plaisir sans cesse annoncé et sans cesse repoussé. Je sais qu’il me fait confiance ; cependant, je sens que son impatience grandit de seconde en seconde. Ses inspirations et ses expirations sont longues, profondes, bruyantes ; le bogoss monte en pression, il est chaud, bouillant.
A l’époque de nos premières révisions, à ce stade des opérations, il m’aurait déjà fourré la queue dans la bouche et il serait en train de la défoncer avec des coups de reins sauvages.
Mais là, il se retient ; certes, il a un petit pari à gagner, mais il n’y a pas que ça. En fait, depuis nos retrouvailles, Jérém me fait l’amour tout en douceur, comme s’il avait peur de me manquer de respect en jouant au mâle domi qui était son rôle dans notre relation ...