La folie du pleutre 16. Fin de l’épilogue.
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Arsenne, Source: Hds
... coucher en gardant les odeurs et souillures sur son corps. Je suis à nouveau partagé par ces sentiments ambigus. Heureux d’avoir vu combien elle avait excité les mâles et combien elle avait manifesté son plaisir à se faire prendre de cette façon.
Elle est venue se blottir contre moi. De sentir son corps chaud mais souillé me rendait heureux. Je venais de comprendre que nous allions devenir un couple libertin, que je lui laisserai assouvir ses pulsions mais avec ma complicité. Personne ne sort perdant de cette aventure. Nous y avons gagné de consolider notre amour.
Au point de s'endormir, elle me glisse à l'oreille
- Je t'aime, garde moi auprès de toi.
Quand je me réveille au milieu de la matinée, elle est lovée contre moi, chatte qui ronronne. Elle m’embrasse amoureusement puis se glisse hors du lit pour aller se doucher. Je présume qu’elle doit en avoir besoin pour se débarrasser des souillures qu’elle a reçues cette nuit. Je la regarde marcher nue vers le couloir pour rejoindre la salle de bain. Son cul se balance au rythme de ses déhanchements planté au haut des ses cuisses. Qu'elle est belle ! Je comprends sa double personnalité. L'une réservée et timide, l'autre qui lui fait perdre toute réalité avec les règles de la vie de couple.
Au petit déjeuner ma mère est toute attentionnée avec Marion et moi, comme si elle voulait se faire pardonner son silence. Elle ne sait pas que je sais. Par contre elle a bien conscience que Marion s’est rendue compte de sa ...
... complicité passive.
Moi je sais que quelque part elle a agit pour se venger de cette jeune et jolie femme qui a séduit son garçon. Comme presque toutes les mères !
Quand les trois salauds arrivent pour déjeuner, ils arborent un sourire aux lèvres. En les voyant s’approcher, Marion est écarlate, cramoisie. Les yeux dans son bol de café, elle n’ose lever les yeux vers eux. Un silence s'installe autour de la table.
Vu l'heure avancée de la matinée, je décide de rentrer à Paris. Marion évite les hommes et reste réservée en embrassant ma mère.
J’ai eu ce que je voulais. La voir céder et se faire baiser à mon insu et surtout prendre son pied. J’ai découvert une nouvelle fois, une femme perverse, prisonnière de ses pulsions, chienne quand elle est en situation de se libérer de ses contraintes morales.
Elle a sucé, pompé, branlé sans remords. S'est laissée prendre sans aucune réticence. Ils l’ont fait parler, ultime humiliation pour une femme que de dire ce qu’elle a de plus secret en elle. Lui arracher les images de son jardin secret, celles qui alimentent nos libidos au moment de l’accouplement. Ces pensées que l'on ose à peine à s'avouer soi-même.
Aujourd’hui avec une fille et un petit garçon nous formons un couple classique. Marion est une mère attentionnée qui adore ses enfants et ne manque aucune occasion d’assouvir mes fantasmes. Elle m'aime et me le prouve chaque jour. Je le sais, si l'occasion se présente elle s'abandonnera à ses pulsions, mais cette fois ce ...