La folie du pleutre 16. Fin de l’épilogue.
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Arsenne, Source: Hds
... …
Elle ne répond pas mais son silence est signe d’acquiescement, surtout qu’il s’accompagne à nouveau d’un rire. Je comprends que ces salauds veulent l’humilier et la contraindre à devenir leur esclave sexuelle en la soumettant à un chantage. J’entends que la voix de Marion est hésitante, mais pas du tout apeurée, même détendue. Comme ils insistent, elle finit par lâcher.
- Oh non. Vous ne lui direz pas non plus, hein ?
- Si tu ne veux pas qu’on lui dise tu feras ce qu’on te dira de faire.
- Oui ! Promis.
- On va montrer tes photos à nos copains et on viendra te baiser chez toi.
- Oh, mon dieu. Ne lui dites rien, s’il vous plait.
Cette fois encore elle accompagne sa réponse d’un gloussement étouffé. C’est le cousin qui lui demande encore.
- Je suis sûr que tu l’as encore trompé. Il a vraiment une tête de cocu.
- Si, une autre fois dit-elle, en riant carrément cette fois.
- Il le sait ?
- Non.
- Tu t’es éclatée ? Dis-nous.
- Je suis retournée voir Monsieur David chez lui. Il m’a faite baiser par des amis à lui.
- Oh la salope ! Ils étaient combien ?
- Trois et Monsieur David.
- Ils t’ont tous baisée ?
- Oui !
- Enculée ?
- Oui !
Marion avait l’air contente de leur raconter ses exploits. Et moi caché derrière cette porte, cocu et bien cocu, j’apprenais de sa propre voix qu’elle me mentait, que cette fois encore elle avait sucé, branlé et s'était laissée baiser, enculer toute une nuit alors que j'étais en déplacement. ...
... Elle se confie avec désinvolture comme heureuse d'avouer à ces salauds qu'elle m'a cocufié à mon insu. Tout mon corps se met à trembler. Je suis prêt à entrer et tout casser, mais encore une fois le courage me manque. Je suis au fond du trou. J'entends alors mon beau-père lui dire.
- Allez, couche toi là. On va te faire reluire à notre tour !
S'ensuivent des rires, gloussements, soupirs, des mouvements de corps qui me parviennent de l’intérieur de la chambre. Marion pousse des gémissement alors que les trois salauds redoublent de mots salaces, d’insultes sans que ma femme ne proteste. Au contraire j’entends son souffle court devenir plus intense. Ils sont passés à l’action.
Les quelques minutes qui suivent sont pour moi insupportables. Entre ce que je viens d'entendre de sa propre bouche et les bruits indubitablement de sexe qui transparaissent au travers de la porte, je suis anéanti, incapable de bouger ou d'agir. Mes tempes bourdonnent, je tremble. Je sens mon sang bouillonner dans mes artères. C'est la voix du cousin qui me ramène à la réalité :
- Tu la sens ma grosse queue ?
Ça y est ! Le cousin la baise. Il est en elle. En guise de réponse, c'est un râle que j'entends. J'imagine qu'elle a la bouche encombrée ! J'ai à peine compris que j'entends mon beau-père s'adresser à moi.
- Entre-donc petit con ! Je sais que tu es là. Vient voir ta belle Marion. Vient voir comme elle aime la bite.
Comme un automate, ne réalisant pas vraiment ce je fais, je tourne ...