La folie du pleutre 16. Fin de l’épilogue.
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Arsenne, Source: Hds
La folie du pleutre 16. Fin de l’épilogue. Envoi
Seul dans mon lit je suis, épuisé, complètement crevé. Je réalise que j’ai joui au moins trois fois. Mon teeshirt qui me fait office de pyjama est trempé de foutre. Les draps du lit aussi. J’ai envie de rester là, m’endormir et ne plus me réveiller. J’ai mal au cœur, envie de vomir. La jalousie cette fois prend le dessus de mes envies de luxure avec Marion. Je l’aime et je panique à l’idée de la perdre.
Pris soudain d’une force qui me submerge, je décide de me lever et d’aller exploser ma colère et mes ressentiments. Debout, je sens mes jambes qui tremblent, elles ont du mal à me soutenir. Je gagne difficilement le couloir pour aller retrouver les salauds dans la chambre du fond. Il y a bien dix minutes que mon beau-père et Marion ont quitté notre chambre. Je m’approche sans bruit. La porte est fermée, je ne peux rien voir. Aux bruits de voix je découvre que le pote du cousin est aussi de la partie.
La porte fermée, je ne peux rien voir, mais je sais sans aucun doute, que tous les trois vont la baiser une partie de la nuit sans se soucier pas de ma présence. Ils se sont bien rendus compte qu’elle répondait favorablement à leurs avances le soir au dîner. Ils pouvaient même croire qu’elle les a allumés. Je le pensais également en la voyant rire de leurs plaisanteries salaces. Mon beau-père, me l'a bien montré.
Si je ne peux rien voir, par contre je peux tout entendre, surtout, et je suis surpris de le constater, ...
... qu’ils parlent à voix haute sans soucis de se faire entendre. Je reconnais tout de suite la voix de mon beau-père au milieu des ricanements de ses deux complices. A tour de rôle ils la questionnent. La voix de Marion est timide hésitante par moment.
- Tu nous as bien allumés hier soir, non ?
- Vous m’avez fait boire répond-elle en gloussant.
Visiblement elle est à l’aise. On peut même penser qu’elle est bien contente, comme joyeuse. Plus rien à voir avec sa retenue de tout à l'heure dans notre chambre. Les voix sont par moments couvertes par des bruits de baisers comme des gargouillis.
- Allons, allons, tu avais les seins nus pour nous exciter. Tu es une bonne salope. Tu veux qu’on te baise maintenant ?
- …
- Dis-le salope. Dis-le bien fort qu’on t’entende.
- Oui !
- Quoi oui ?
- Je veux que vous me preniez.
- Et ton mari ?
- …
- Tu as envie de te faire baiser à côté de ton cocu ?
- …
- Tu veux répondre, oui ?
- Oui !
- Oui, quoi ?
- J’ai envie me faire baiser sans rien lui dire.
- Tu es une pute hein ?
- Oui.
- Tu l’as déjà trompé ?
- Non, jamais.
- Menteuse, dis-nous la vérité.
- Une fois seulement, ajoute-t-elle.
- Tu vois, salope que tu es une pute. Tu lui as dit ?
- Oui, je lui ai avoué !
- Et alors ?
- Il m’a pardonné, ajoute-t-elle en riant.
- Tu n’as pas recommencé ?
- Non, je vous jure.
- Tu es une menteuse. Et là, tu vas lui dire que tu veux te faire baiser par nous trois ?
- ...