1. La folie du pleutre 16. Fin de l’épilogue.


    Datte: 06/09/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Arsenne, Source: Hds

    ... mandrin qu’elle avait lâché un moment. Cette fois je la vois vivre sa débauche, avec ma complicité comme spectateur. Elle est heureuse, libérée. Elle participe activement à faire jouir et à jouir. Sa langue joue avec la bite qui lui fouille la bouche, elle avance son bassin en se cambrant pour aider à la pénétration encore plus loin de la bite de mon cousin.
    
    - Tu vois, salope, ton cocu aime te voir te faire mettre. Branle-toi dit-il s’adressant à moi.
    
    Et moi, docile et soumis, j’empoigne ma bite qui bande mou et me fait mal. Après seulement quelques seconde et quelques spasmes, j’éjacule devant moi quelques malheureuses gouttes de foutre sur le parquet de la chambre, au comble de l’humiliation. Mon cousin et mon beau-père éclatent de rire.
    
    Cela constitue un signal pour les autres voyous. Ils déchargent de concert leur foutre qui, dans la bouche, qui dans le vagin, qui sur les seins et le ventre de ma femme qui s’abandonne dans une jouissance bruyante sans soucis de réveiller la maisonnée.
    
    Mon beau-père lui libère la bouche, sa semence avalée, mon cousin abandonne le ventre de Marion et me dit :
    
    - Je suis sûr que je te l’ai engrossée ta pouffiace, avec toute la purée que je lui ai envoyée.
    
    Et il accompagne sa phrase d’un rire goguenard à mon encontre.
    
    C’est à ce moment que Marion éclate en sanglots, complétement abattue. Nous savons tous les deux qu’elle est enceinte déjà, mais c'est cette soumission au sexe qui la démoralise, la blesse. Et elle ne sait ...
    ... pas encore qu’elle va être ma réaction demain. Je suis moi même au plus bas. De multiples sentiments me submergent. Je suis cocu et Marion m’a trompé à mon insu. Elle n’a pas pu résister aux avances du sexe des mâles et d'autant plus, qu’elle réalise qu’elle s’est laissée culbuter par mon propre beau-père.
    
    Après avoir bien profité de ma femme, les trois salauds quittent la chambre pour aller se taper une bière en cuisine. Il est quatre heures du matin. Je les entends murmurer des phrases toutes plus salaces les unes que les autres concernant ma chérie.
    
    - Elle est bonne hein ma bru ? Je l’aurais bien enculée !
    
    - Sa chatte est bien élastique et serrée. Je lui ai rempli le vagin à ras bord, ajoute mon cousin.
    
    - Moi elle m’a bien branlé et la purée que je lui ai juté sur les seins elle n’est pas prête
    
    de l’oublier !
    
    - On pourrait l’emmener l’offrir à nos potes du club de pétanque, non ?
    
    Ils éclatent de rire, sans soucis de réveiller maman et tata. Marion s'arrache du lit. Du sperme s'écoule d'entre ses cuisses et du bord de ses lèvres. Elle se dresse devant moi, droite, immobile, sans savoir quelle conduite tenir. Après un moment d'hésitation, je la prends dans mes bras en signe d'absolution. Je la serre très fort contre moi. On sanglote tous les deux. Je la saisis par la taille et nous regagnons notre chambre.
    
    Je me couche sans un mot, sans savoir quoi dire. Elle veut aller se doucher pour effacer les traces de sa déchéance. Mais je lui demande de venir se ...
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