La soirée qu'il ne fallait pas rater
Datte: 05/09/2020,
Catégories:
fh,
rousseurs,
Auteur: Nicolas, Source: Revebebe
... un combat à la fois violent et si doux. Je n’avais jamais imaginé qu’une femme puisse avoir autant de mains actives en même temps. Je croyais que c’était l’apanage des hommes. En fait, j’ai été happé dans une sorte de tornade d’où je suis sorti chemise ouverte, pantalon défait et à mi-jambes, caleçon grand ouvert et sexe à l’air ; enfin, prisonnier de deux mains. Dans le même temps, j’avais réussi à ouvrir le chemisier qui flottait maintenant autour de son torse. Deux seins splendides, arrogants, à peine soutenus par un soutien-gorge en dentelle blanche si légère, occupent mes mains ; mais pas pour longtemps. Je reprends le chemin de mes explorations : je trouve sur la ceinture de la jupe réglementaire les deux boutons et la fermeture Éclair qui me permettent de la faire tomber.
C’est un éblouissement immédiat : comme je l’avais imaginé en début de soirée, le slip est plus un objet de décoration qu’une protection. Il contient à grand-peine une touffe d’un roux de feu pourtant bien taillée et limitée à un triangle dont une pointe marque la direction du sexe. Mais cette fourrure est d’une telle densité, les boucles sont si épaisses, longues, soyeuses…
La jupe à peine à terre, « mon capitaine » se colle contre moi.
— Vite, prends-moi, là, tout de suite. Nous n’avons pas de temps pour autre chose.
Je la pousse dos contre une étagère pleine de torchons et de serviettes de toilette ; elle entoure mon cou de ses bras et remonte ses jambes sur mes hanches. À travers les ...
... quelques grammes de dentelle de son slip, je sens la chaleur que dégage son sexe et mesure à son humidité combien elle attend cette dernière phase du combat. Je n’ai pas besoin d’y mettre les mains, elle non plus. D’un seul coup de reins, je la pénètre ; sa lingerie contournée sans coup férir n’a rien pu faire pour l’empêcher.
— Oh, nom de D… ! chuchote-t-elle.
Son visage marque à la fois l’étonnement et la satisfaction ; ses yeux immenses se sont encore plus ouverts et la lumière leur donne une teinte plus douce. Mes mains soutiennent ses fesses et ressentent les spasmes et contractions qui agitent son ventre. Nous restons sans bouger. Je sens autour de moi ses muqueuses qui massent le pieu de chair qui les a envahies. J’y réponds par quelques mouvements de va-et-vient légers. Nos lèvres se sont à nouveau jointes, et nos langues continuent leur jeu de poursuite. Elle rompt le contact, se rapproche de mon oreille :
— Je te veux, très fort, maintenant.
Que voulez-vous répondre à ça ? Je me suis exécuté, en y mettant toute la force, la douceur, la violence, le désir dont j’étais capable. Dans la petite pièce, on entendait le choc de mon ventre sur ses fesses, le clapotis de son sexe ruisselant, nos respirations affolées et une sorte de grondement animal dont je compris vite qu’il venait de sa gorge.
— Oui, comme ça, c’est bon, je te sens bien, continue, vas-y fort !
Encouragé comme cela, je ne pouvais que mettre encore plus de cœur à l’ouvrage. Elle reprit sa ...