Les bûcheronnes
Datte: 04/09/2020,
Catégories:
Hardcore,
BDSM / Fétichisme
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... relié à une chaine dont elle garde en main l’autre extrémité. Il faut marcher, et même courir pour garder le rythme de leurs pas. Mes pieds nus se piquent sur les chardons. Je gémis, ce qui n’a pour effet que de produire leurs moqueries envers ma délicatesse de citadin trop habitué au confort. Chemin faisant, je grelotte à cause de froid qui descend sur la forêt enveloppée de brume. Pas après pas, elles m’entraînent vers leur abri qui ressemble à un terrier de renard, avec une entrée cachée derrière des fougères, à la base du tronc d’un gros chêne. Personne n’aurait pu deviner qu’il s’agit d’une habitation humaine.
L’intérieur, creusé sous la terre, est étonnamment vaste et confortable. Un douillet tapis de mousse recouvre le sol. Des bougies posées dans des alcôves creusées dans les murs nous éclairent et nous réchauffent en même temps. Gûh fixe ma chaine sur un anneau rivé dans le sol. Voici assignée ma place définitive dans l’étrange appartement souterrain de celles que j’ai pris l’habitude d’appeler les Amazones, tant celles-ci sont robustes autant que cruelles envers les hommes comme moi.
L’hiver se passe sans événement notable. Je suis chargé d’entretenir leur lieu de vie, du moins dans les zones permises par la longueur de ma chaine que je ne quitte jamais, pendant qu’elles partent travailler, hache à l’épaule, ce qu’elles font quelle que soit la météo, y compris pendant les tempêtes de neige. Parfois, j’entends le bruit d’hélicoptères au-dessus des arbres, sans ...
... doute parce que femme doit être folle d’inquiétude à mon sujet, et qu’elle doit avoir prévenu les gendarmes de ma disparition.
Lorsqu’elles rentrent chez elles, je suis leur esclave sexuel. Car, si elles sont manifestement lesbiennes, elles aiment que je leur masse et lèche les petons pendant qu’elles se font l’amour. Je n’ai le droit de les toucher que sur cette partie de leur corps. Il me faut m’appliquer et prendre garde à ne pas les chatouiller, sinon elles me punissent à coups de pieds dans les testicules ; elles prennent un plaisir sadique à m’entendre hurler de douleur. Elles ont des pieds parfaits, à la voute plantaire divinement galbée, sans verrues ni cors, odorants comme des sous-bois humides de rosée automnale, car elles transpirent beaucoup, d’une sueur un peu plus sucrée pour Gûh, un peu plus âcre pour Tah.
J’apprends à les distinguer les yeux fermés. Ils sont immenses comme des supertankers ; si elles se chaussaient dans le commerce au lieu de se fabriquer elles-mêmes leurs bottes en peaux de daim ou de cerf, elles prendraient au moins du 50.
Mais le spectacle de leurs ébats est si extraordinaire que je ne regrette plus rien de ma condition pourtant misérable. De plus, à cette occasion, je suis parfois autorisé à me masturber entre leurs pieds, à condition de lécher ensuite ma semence jusqu’à la dernière goutte. C’est là mon seul loisir autorisé, alors je tâche d’en profiter au maximum. Le reste du temps, je dois garder ma cage pénienne en permanence. ...