1. Illustrations


    Datte: 01/09/2020, Catégories: fh, couple, copains, amour, volupté, Oral pénétratio, fdanus, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ta main !
    
    Il sourit, tout en gardant mes mains dans les siennes. Je ne sais plus trop quoi faire :
    
    — T’exagères, Julien ! Nous ne sommes pas dans une BD ! Mais…
    — Mais ?
    — Je suis flattée…
    — Ah ?
    — Oui, j’avoue : très flattée ; je ne sais pas quoi te dire…
    — Alors dis « Oui » !
    
    Je pouffe de rire, ses mains chaudes me réconfortent.
    
    — Décidément, t’exagères beaucoup !
    
    En ce moment-là, je ne pouvais pas savoir à quel point j’avais raison ! Il me fait un large sourire, la pression de ses doigts s’accentue sur mes mains puis il m’embrasse. Un baiser tout doux, précis, volontaire, décidé. Je flotte, je ne sais pas vraiment quelle suite donner. Tout m’échappe et je n’aime pas ça du tout. Néanmoins, j’entrouvre mes lèvres…
    
    Alors, Julien s’enhardit, beaucoup plus que je ne l’aurais cru. Son baiser devient plus exigeant, plus confirmé, plus expert, je dirais. Sa langue chaude me caresse, m’explore voluptueusement. Les hommes mûrs ont assurément des points positifs ! Je me laisse aller, langoureusement, c’est si bon ! Une de ses mains quitte les miennes et vient se poser sur ma nuque qu’elle caresse, ses doigts jouent dans mes cheveux mi-longs, son pouce m’effleure le lobe de l’oreille. Son autre main caresse à présent ma cuisse à travers le fin tissu de ma jupe longue. Je pose mes doigts sur sa jambe, j’en tâte les volumes que je trouve fermes - le vélo, sans doute. Je me plais à penser qu’il doit avoir un de ces jolis petits culs bien moulés et à ...
    ... croquer ! Oh que j’aimerais aller vérifier ça illico presto ! Mais pas maintenant !
    
    Je m’étonne de mes propres pensées et je me rends compte que, finalement, je m’en fiche ! Sa main glisse doucement de mon cou vers mon décolleté tout offert. Il s’approche encore plus de moi, ses lèvres se soudent aux miennes, nos langues se nouent. Ma main se glisse sous sa chemise, dans son dos, pour caresser sa peau toute douce. C’est bien la première fois que je vais si vite !
    
    Je vois bien que lui aussi aimerait aller plus vite et plus loin, je sens bien qu’il se freine, nos bouches s’éloignent tandis que nos mains cherchent toujours le contact doux de nos peaux. Il me sourit, les yeux luisants :
    
    — Je crains que ça ne soit pas l’endroit idéal !
    — Ah… euh… oui…
    — Ça sera comme tu le veux mais j’aimerais ne pas attendre trop longtemps… Je veux dire par là, ta décision, si c’est oui ou si c’est non, pour qu’on fasse un bout de chemin ensemble.
    — Houlà, houlà, tu vas vite, toi ! dis-je, un peu surprise par cette rapidité.
    — Il y a de la place à la maison, on peut t’aménager sans problème un coin atelier, un peu comme tu l’as déjà fait en semant tes crayons dans toute la maison.
    — C’est un reproche ?
    — C’est une constatation !
    
    Et il m’embrasse voluptueusement. C’est loin d’être désagréable, j’adore ! En même temps, mon esprit pratique se dit que, tout compte fait, sa proposition est tentante : je vis dans un sombre petit deux pièces pas très pratique et Julien me plaît ...
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