1. Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)


    Datte: 01/09/2020, Catégories: fh, hplusag, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... Kim m’écrasait contre le canapé. Sa langue hardie fouillait ma bouche, sa main appuyait déjà contre ma virilité à l’étroit dans mon jean. Eh oui, je bandais ! Je découvrais avec effarement que cette étreinte affolait mes sens, qu’il était trop facile de mettre cette érection sur le compte de l’alcool et du départ de Mai. Ce désir préexistait. Il avait pris place lors de nos apartés d’exclus durant nos sorties.
    
    Ma main avait rapidement quitté sa joue pour son cou. Son cou pour son dos, pour son bas du dos. Du bas du dos, elle s’insinua dans son jean jusqu’à la naissance de sa raie culière. Le contact de sa chair moelleuse m’électrisa, l’électrisa. Ses doigts se refermèrent sur ma bite, à travers l’étoffe du Levis, et la comprimèrent. Elle la lâcha pour dégrafer son fut’. Ce qui permit à ma main d’atteindre le haut de sa fente. Comme sa sœur, elle ne s’épilait pas. Elle revint à ma bite, fit sauter les boutons de ma braguette et éjecta Popaul de sa prison. Elle l’empoigna.
    
    Soudain le temps s’arrêta. Fin du baiser. Elle retira sa main et moi, la mienne. Nous nous regardâmes.
    
    — Qu’est-ce qu’on est en train de foutre ?
    — Une connerie, lui répondis-je.
    — Je suis vraiment une salope ! Profiter de ta peine pour satisfaire mes envies. T’es le mec de ma sœur, putain !
    — Je suis aussi coupable que toi, répliquai-je en lui prenant la main. On peut renverser la situation et dire que j’ai profité de tes sentiments pour noyer mon chagrin dans la baise.
    
    Je me ...
    ... rendis compte de la signification de mes paroles au moment où je le prononçais. Kim n’avait rien d’une Marie-couche-toi-là. Nous n’avions pas bu suffisamment pour qu’elle fasse n’importe quoi. La conclusion logique était qu’elle avait un faible pour moi. Je rembrayai :
    
    — Le salaud, s’il y en a un, c’est bien moi !
    — On est deux dégueulasses, me répondit-elle en éclatant de rire.
    
    Elle avait cette faculté de rebondir immédiatement que j’appréciai tant chez sa sœur. Le silence s’installa. Je tenais toujours sa main, elle ne l’avait pas retirée. Nous nous jetions des regards interrogateurs. Kim rompit le silence :
    
    — Je n’arrive pas à regretter. J’ai beau me dire que je suis une salope, j’ai adoré.
    — Autant pour moi. Et tu n’as pas profité de moi ! Même, si j’en avais pas conscience, c’était en moi. Je crois que j’en avais autant envie que toi.
    
    J’allais pas repartir dans un dialogue amoureux dégoulinant dont j’ai horreur. J’avais donné avec sa petite sœur. Je conclus :
    
    — Mais là, je suis dans le brouillard, je nage complètement. En gros, je sais plus où j’habite.
    
    Elle ne pouvait me laisser le dernier mot et avec un romantisme digne de celui de sa sœur, elle me renvoya dans mes 22 :
    
    — En gros, tu sais plus où mettre ta bite, si j’ai bien compris, ricana-t-elle. Moi je sais, mais est-ce souhaitable ?
    
    Elle lâcha ma main, me roula une pelle rapide et se leva.
    
    — Je crois que tu ferais bien de retourner dans ton plat pays… pour l’instant.
    
    Ce que je ...
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