Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)
Datte: 01/09/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... vraiment fière de moi. Mais je n’ai pas eu vraiment besoin de lui dire.
— Quoi ?
— C’est une des raisons de son départ pour la Chine. L’autre étant que vous vous éloigniez l’un de l’autre. Elle avait compris avant nous ce qui se passait. Elle voulait nous laisser le champ libre.
— C’est une sacrée bonne femme.
— Normale, c’est ma sœur. Tu regrettes ?
— Non, dans des conditions normales, nous étions trop différents. Mais je n’oublierai jamais. Aujourd’hui la femme que je veux, c’est toi !
— Donc aujourd’hui ta bonne femme sacrée, c’est moi, dit-elle, abandonnant sa chaise pour venir s’asseoir sur mes genoux.
Elle m’enlace et nous voilà partis pour un nouvel exercice en apnée. Exercice efficace, car rapidement ma bite tente de se mettre au garde-à-vous. Elle n’y parvient pas, stoppée par une cuisse importune. Kim se rend compte de la situation et, bonne fille, se déplace et en profite. Elle s’assoit à califourchon sur moi. D’une main sûre, elle s’empare de mon membre bien raide et se l’enfourne sans autre forme de procès. Je tente un :
— Tu ne voudrais pas un café ?
— Pourquoi ? Ça ne te suffit pas de tremper ton biscuit dans ma sauce ?
Dit comme ça, que voulez-vous que je réplique surtout que pour éviter toute contestation, la perfide m’a déjà obturé la bouche avec ses lèvres. Après la cavalcade d’avant repas, nous sommes moins affolés. Je prends conscience de son corps, de la souplesse de ses seins pressés contre ma poitrine, de ses abdos qui repoussent mon ...
... bidon dans ses derniers retranchements, du chatouillis grisant de sa courte toison contre mon pubis. Elle frissonne. Est-ce mes mains dans son dos ou simplement un petit coup de froid ?
Elle se désarrime, saute sur ses pieds.
— Quand on a visité la chambre tout à l’heure, on l’a fait à la va-vite. Si tu es d’accord, j’aimerais qu’on voie ça de plus près.
Elle me tend la main et se dirige vers la porte sans attendre ma réponse. En s’allongeant sur le lit défait, elle me déclare en riant :
— J’aime bien ton home. Je me demande si je ne vais pas y rester quelque temps.
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Les histoires d’amour (ou pas) se terminent mal (et pas qu’) en général
7 février 2017
Et je n’en suis jamais réellement repartie si ce n’est pour des séjours d’agréments. En 1999, après deux années de congé sabbatique, j’ai démissionné de mon poste à l’hôpital de Nancy. Vingt ans après, je suis toujours brouillée avec mes parents (enfin avec ma mère, ce qui revient au même). Line, son mari et leurs enfants viennent chaque année durant leurs vacances. Ils ont fait, avec l’accord du gouvernement péruvien, construire un petit pavillon qu’ils utilisent régulièrement. Gisèle, avec qui nous sommes toujours restés en contact, est venue plusieurs fois avant que la maladie l’en empêche. Jérôme et moi avons vécu ici une vie tranquille loin du bruit et de la fureur du monde.
Il s’est éteint paisiblement dans son lit, dans son île en tenant ma main. Je viens selon son souhait de répandre ...