Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)
Datte: 01/09/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... c’est pas vraiment ça. Tu n’aurais pas un truc d’appoint par hasard ?
Le hasard fait bien les choses, j’ai justement « un truc d’appoint ». Un second tas à côté du premier et je la rejoins sous la couette. Nous nous enlaçons étroitement, presque chastement. Nous restons, connement diraient certains, dans cette position un long moment à nos bouffer des yeux, à nous caresser le visage. Pas de précipitation, simplement le plaisir de se retrouver. La soixantaine me ramollit vraiment le cerveau, mais heureusement pas la…
La chasteté s’arrête où commencent la tension de ma bite et celles de ses tétons, car soudain, sans aucun signe avant-coureur, c’est l’explosion, c’est six mois de frustration, d’absence, d’abstinence qui volent en éclats, c’est une bombe thermonucléaire qui nous pète à la gueule. Je ne sais pas quel a été le déclencheur, je ne sais pas qui a commencé. Nous sommes tranquillement scotchés l’un à l’autre, nous bécotant gentiment, nos mains lancées dans des caresses exploratoires. La seconde suivante n’est plus que bruit et fureur. Sur elle, en elle. Nos bassins s’agitent violemment, s’entrechoquent à un rythme effréné. Nos bouches se dévorent à s’en mordre les lèvres. Mes mains écrasent ses mamelons, les siennes ont planté leurs ongles dans mon dos qu’elles labourent allègrement. Reprises de souffle éphémères où nous ahanons tel un sprinter à l’arrivée d’un cent mètres. Des éclairs lumineux zèbrent ma tête. Mon foutre la remplit, mais la charge de la brigade ...
... légère ne s’arrête pas pour autant. Nous continuons à jouer au yo-yo fou. Je m’enfonce en elle et la cloue au matelas, elle me renvoie dans les airs et je replonge. Voyage au bout de mon vit. Ma dernière goutte de sperme a tapissé son vagin depuis un moment déjà. À certains spasmes qui l’ont parcourue, elle aussi, a dû jouir. Pourtant nous n’arrêtons pas pour autant. Nos corps sont dotés d’une vie propre, nous ne les contrôlons plus. J’éjacule une seconde fois, du moins est-ce l’impression que j’ai. Son corps est parcouru de frissons puis de tremblements de plus en plus forts. Finalement, épuisés, nous nous écroulons l’un sur l’autre, puis nous désattelant l’un à côté de l’autre.
Elle me prend la main et me la serre très fort. Nous sommes incapables de bouger, de parler, il nous faut d’abord reprendre notre souffle. La fureur a cessé, reste le bruit de nos respirations. Enfin, après un temps indéfini, je me redresse sur un coude et, passant une main caressante sur son visage couvert de transpiration, je lui déclare pompeusement :
— Bienvenue à Crazy Island, Kim Anne.
— Je vous remercie, Jérôme pour votre accueil chaleureux, bien qu’un peu rude.
— Rude ? Je reconnais que pour une entrée en matière, ça l’était !
— Pour être entré dans la matière… t’y es entré, mon salaud ! En tout cas, ça m’a donné faim ! Qu’est-ce qu’on mange ? dit-elle en sortant du lit et m’offrant une vue panoramique sur ses fesses rebondies
— Toujours aussi romantique, à ce que je vois !
— Pour ...