Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)
Datte: 01/09/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... l’instant c’est plutôt mon gros cul que tu mates !
— Arrête de te vanter !
— Quoi, il est pas gros mon cul ?
— J’dirais tout au plus confortable.
— Tu veux aussi mater mes kolossales doudounes ?
Elle se retourne et se tortille donnant à ses seins un comique mouvement de balancier. Deux seins plantureux, mais sans démesure, aux aréoles haut placées que la gravité entraîne vers le bas. Deux seins que j’ai envie de toucher, de presser l’un contre l’autre, mais Kim a faim et ventre affamé n’a pas de libido.
— Tu manques vraiment de modestie ! Ils ne sont pas petits, mais de là à dire qu’ils sont gros.
— En tout cas, j’ai les plus gros de la famille…
— T’as pas de mal !
Comparés aux citrons de Mai (et donc de sa mère), elle énonce une évidence. Elle est vraiment pas faite comme sa sœur : plus ramassée plus, trapue dotée de formes plus voluptueuses. Mais s’il y a des fausses maigres, elle est une fausse grosse. Pas une once de graisse, ni de cellulite, un ventre plat et une toison brune très pelouse anglaise.
— J’ai faim !
Elle se dirige vers la porte et sans hésitation entre dans la pièce à vivre.
— Brrr ! Fait pas chaud dans ton couloir.
— Non, j’ai quand même des possibilités de chauffage limité. J’avais prévu du champagne, dis-je en lui désignant la table où les cadavres des deux flûtes baignent dans une mare de vinasse. Mais comme tu vois, j’étais trop pressé de te voir alors bonjour la casse.
— Ça me dérange pas trop parce qu’après le rodéo qu’on ...
... vient de se payer, y’m’faudrait autre chose que quelques bulles.
— T’en fais pas, y’a ce qu’il faut.
Pendant le repas, nous discutons de tout et de rien. Nous attendons le dessert pour lever les derniers doutes. J’avais repris contact avec elle dès le début de l’année. Nous avions régulièrement eu de longues discussions au téléphone. Je ne lui avais rien caché de mon réveillon cochon. Malgré cette confession, notre complicité n’avait cessé d’augmenter. Il était vite devenu évident que le départ de Mai pour la Chine n’avait pas été la cause de notre « dérapage » et que nous ne voulions pas passer à côté de ce que nous avions entrevu. Seul bémol quand nous évoquions sa sœur, je sentais toujours une certaine réticence, un certain malaise dans ses réponses. Quand je lui dis que j’avais supposé, outre le fait qu’elle n’était pas persuadée de ne pas jouer les doublures, qu’elle avait l’impression de faire un enfant dans le dos à sa sœur, elle éclate de rire.
— C’est presque ça ! mais c’est Line qui t’a fait un enfant !
— Quoi ?
— Elle a rencontré quelqu’un et est enceinte. Ça me mettait mal à l’aise surtout au début. Quand effectivement, je pensais être une doublure.
Elle avait peur que ça me peine, alors que j’en suis simplement heureux pour elle. Soulagé, car moi aussi je culpabilisais. Mai Line, lui a aussi confié avant qu’elle ne parte que si elle me rendait malheureux, elle aurait affaire à elle.
— Parce que tu lui as dit qu’on…
— Non bien sûr. J’étais pas ...