1. La Gestionnaire (19)


    Datte: 28/08/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... tremble. La peur m’envahit. Mais malgré cela je me liquéfie. Je mouille comme une folle. Savoir que je vais être fouettée comme une chienne, rossée comme une salope me fait entrer en transes. Mes seins sont entourés des liens de cuir. Il tourne autour de moi. J’attends le coup. J’attends la morsure des lanières sur ma peau. Je remarque que la cheminée projette nos ombres sur le mur en face de moi. Je vois Monsieur Armand soulever son bras. Le premier coup tombe. Il n’est pas trop violent, juste suffisamment appuyé pour me faire me lâcher et étouffer un cri en me mordant les lèvres. Mais la correction se corse. Les coups se font plus fermes, puis appuyés, plus mâles. Monsieur Armand est habitué à utiliser le fouet. S’est-il habitué avec les chiens ou avec les femmes, je ne le sais ? Mais il connaît le plaisir que crée une correction à une soumise.
    
    Les coups marquent sur ma peau. Monsieur Armand m’adresse la parole :
    
    — Chaque coup marque bien tes fesses... chaque fois, les lanières te laissent une traînée rouge...
    
    Je serre mes lèvres. Mes dents sont plantées dans ma lèvre inférieure. Je ne veux pas répondre aux commentaires de Monsieur Armand. Il se vexe et le bras part plus en arrière. Il tombe plus lourdement. Les lanières pèsent sur mes dômes joufflus. Je peux retenir un cri. D’un mouvement de bassin, je cherche à éviter le coup suivant. Pendant cinq minutes, il me fouette régulièrement. Je ne cède pas : pas un cri, pas un gémissement. Quelques esquives, mais c’est ...
    ... tout... La fatigue se fait sentir. Monsieur Armand s’arrête. Il vérifie que ma fente est toujours dans le même état. C’est pire ! Je dégouline, je ruisselle. L’intérieur de mes cuisses est maculé de ma mouille. J’écarte encore plus mes cuisses et favorise les caresses de la main masculine. Puis plus rien. Le fouet retombe. Mais cette fois, il atteint mon entrejambe. Je ne peux retenir un cri, un vrai. Je ne m’attendais pas cette attaque. Monsieur Armand continue. Il a trouvé mon point faible. Je ne supporte pas les coups sur mon sexe.
    
    Ils pleuvent régulièrement. Je crie, je hurle. Mais la douleur s’estompe. Une douce chaleur envahit mes cuisses puis grimpe dans mon ventre. C’est une boule brûlante qui naît dans mon ventre. Je tends mon cul en arrière.
    
    — Tu en as assez ? Tu en veux encore ?
    
    Je ne réponds pas. Je me contente de hocher la tête de gauche à droite. Je ne veux pas que cela cesse. Devant mon mouvement de tête négatif, il continue la correction en portant ses coups, d’abord à l’intérieur de ses cuisses, puis sur son sexe. Les lanières claquent sur mon sexe et terminent sur mon pubis.
    
    Je resserre les genoux, puis les écarte à nouveau, encore plus qu’auparavant, l’invitant à continuer, ce qu’il fait de bon cœur.
    
    A chaque coup, je crie ma douleur et mon plaisir mêlés. Le coup me fait me déplacer légèrement mais je ne fuis pas la correction ... au contraire, je maintiens les jambes écartées, attendant les prochains coups. Mais curieusement, Monsieur Armand ...
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