1. La Gestionnaire (19)


    Datte: 28/08/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... vous ne changiez rien...
    
    — Bien, conduisez-moi Georges...
    
    — Il faut que je vous équipe, Mademoiselle...
    
    — Comment ?
    
    — J’ai ce qu’il faut... tournez-vous et donnez-moi vos poignets...
    
    Comme mercredi dernier, Georges m’installe des poignets de cuir avec des mousquetons. Il me met mon collier et relie mes poignets accrochés l’un à l’autre à l’anneau de mon collier. Mes bras croisés sous mes omoplates m’interdisent tout mouvement de rébellion.
    
    — Je suis prête...
    
    — Pas tout à fait...
    
    D’un tiroir, il sort un bâillon boule. J’ouvre largement les mâchoires. Il positionne la boule de caoutchouc noir et dure entre mes lèvres et ferme les lanières derrière ma tête. Il prend soin de ne pas me tirer sur les cheveux. Il les dispose pour dissimuler les sangles.
    
    — Nous pouvons y aller...
    
    Nous sortons. Entre-temps, le ciel s’est obscurci. De lourds nuages barrent le ciel. Nous nous engageons sur l’allée gravillonnée. Rex, le rottweiler nous suit. Il reprend son habitude. Il place son museau entre mes cuisses juste au ras de mon cul. Son souffle chaud sur mes lèvres m’excite. Je tortille du cul pour essayer de me libérer de cette intrusion, mais il ne s’en préoccupe pas. Il tient la position et ne la lâche pas. Soudain un éclair zèbre le ciel. Le tonnerre déchire le soir. Aussitôt la pluie arrive. Georges sort un parapluie, un grand parapluie de grand-mère, large et noir. Mais il ne songe pas à m’abriter. Il tient le parapluie de la main gauche et ma laisse de ...
    ... la droite. La pluie me cingle les épaules. L’eau ruisselle dans mon dos et empreinte la raie de mes fesses pour couler le long de mes cuisses et de mes jambes. Rex n’est pas content et éternue. Mais l’odeur de la femelle que je suis est trop enivrante. Il replace sa truffe froide entre mes fesses chaudes. Je frissonne.
    
    Le château approche. La grille est là. Maître FX attend sous le porche de pierre. Le portillon s’ouvre.
    
    — Bonjour chienne...
    
    — Bonjour Maître FX...
    
    — Remercie Georges et nous partons...
    
    Maître Fx me libère de mon bâillon boule et comme mercredi, avant que Maître FX me force, je suis à genoux devant la braguette de Georges. Le zip crisse dans la nuit naissante. J’absorbe le chibre noueux. J’ai de la chance. Georges est propre. Son sexe sent le propre. Il est immédiatement en érection. Je le pompe avidement. Ma langue tourbillonne autour de cette hampe qui occupe la presque totalité de ma cavité buccale. Mais il est très excité. Je sens les prémices de l’éjaculation, de son plaisir. Les gros jets de sperme gras et âcre envahissent ma bouche et se répandent sur ma langue. Comme tous les hommes qui se vident, il pousse violemment en avant son sexe. Son gland bute sur ma glotte. Je tousse. Du sperme me ressort par le nez. J’avale tout. Ma morve et le sperme mêlés. Georges replie son sexe dans son pantalon. Il a gardé la laisse. Il la donne à Maître FX.
    
    — Au revoir Monsieur François, au revoir Mademoiselle...
    
    — Au revoir Georges...
    
    — Au revoir ...
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