1. La Gestionnaire (19)


    Datte: 28/08/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... Le tranchant lèche l’élastique et fait son office. Les deux morceaux claquent sur ma peau
    
    — Aie !
    
    — Douillette...
    
    La lame continue son parcours. Elle tranche les autres supports de mes bas. Ils tombent en guenilles sur mes genoux et mes jambes. Monsieur Armand coupe en deux le reste de mes bas. Il me déchausse pour me débarrasser de ces oripeaux. Il se recule et me regarde. Il a l’air fier de lui. Il effleure du tranchant de sa lame mes mamelons dénudés. Ma peau se couvre de frissons involontaires. Il ferme la lame dans un claquement métallique. Il appuie l’extrémité du manche sur mon ventre. Il le passe entre mes cuisses ouvertes. Le manche frotte sur mes lèvres délicates. L’humidité qui y règne mouille le manche et facilite le glissement. Il retire son couteau et le range dans sa poche. Il passe derrière moi. Je sens son regard me fouiller les fesses, me violer du regard mon cul. Il s’approche de moi. Je me redresse et me cambre, comme tu me l’as appris. Il m’embrasse légèrement dans le cou. Un petit baiser très doux très agréable digne d’un amant et non d’un bourreau. Il m’annonce doucement :
    
    — Tu mérites une fessée...
    
    — Si vous pensez que je le mérite, alors punissez-moi !
    
    — Recule tes pieds... encore...
    
    Il relâche un peu de corde. Je peux ainsi me pencher en avant et faire saillir mon cul. Je me cambre encore. Je sens que la vue de mes fesses l’excite. Sa main me caresse. Je pousse encore plus mes dômes vers la main douce. Je me penche encore plus ...
    ... en avant pour bien dégager mes fesses. Mais soudain, contrairement à ce que je pouvais imaginer, il commence à me fesser, d’abord doucement puis progressivement, il appuie ses coups. Je crie. Il me demande :
    
    — Dois-je m’arrêter ?
    
    — Non, au contraire, frappez plus fort... je le mérite...
    
    Il frappe alternativement sur une fesse puis sur l’autre. Les coups sont de plus en plus forts. Il me renseigne sur l’évolution de la teinte de mes fesses.
    
    — Tes fesses rosissent. Ta peau marque bien. La trace de mes mains est bien imprimée. Elles sont cramoisies...
    
    A chaque coup, je pousse un cri, mais je ne fuis pas la correction. Je l’accepte et tends mon cul, même si la douleur est de plus en plus cuisante. Les coups cessent de pleuvoir. Le répit me soulage. Une main inquisitrice se glisse entre mes cuisses et me fouille l’entrejambe. Monsieur Armand ne peut que se rendre compte que je suis toute mouillée, témoignant de mon excitation. Mon tortionnaire est surpris par cette humidité :
    
    — Petite salope, tu mouilles... cela t’excite de te faire fesser... tu aimes cela...
    
    — Oui, Monsieur Armand... j’aime être fessé...
    
    — Je vais alors te corriger, mais te corriger vraiment... une correction dont tu te rappelleras pendant longtemps...
    
    — Si vous pensez que c’est nécessaire, faites le monsieur Armand...
    
    J’écoute un bruit de vêtements froissés. Il passe face à moi. Il tient dans la main le fouet à chiens. Il me caresse le visage avec les lanières de cuir tannées. Je ...
«12...6789»